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s — d’où naquirent les doctrines qui ont créé nos
régimes
— et par les formes de pensée philosophique qui ont permis le dévelop
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ture et les intérêts généraux des populations. Un
régime
de consultations directes entre les petits exécutifs spécialisés dont
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plus réticent. Il fut le dernier à se rallier au
régime
qui devait assurer son essor et sa longue primauté dans l’Union. C’es
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istoire du monde, la décadence des empires et des
régimes
démissionnaires ont vu revenir à la surface ces mêmes coalitions ou a
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qu’un gouvernement d’assemblées. Mais quel autre
régime
peut-il être accepté pour le moment ? Or, il faut commencer. Refuser
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our aller plus loin, nous dit-on. Précisément, le
régime
qui vous est proposé paraît propre à les faire mûrir. Le refuser sera
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teront plusieurs de nos pays : celui de passer du
régime
colonial à l’association dans l’égalité, et celui de compenser la per
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soulever d’objections. Tout le monde sait que son
régime
politique est l’un des plus stables du monde, depuis plus d’un siècle
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(C’est là tout le secret du succès provisoire des
régimes
dits totalitaires : ils offrent et imposent des certitudes massives.)
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lligentsia et décrètent des réformes importantes (
régime
représentatif, libération des serfs). On ne leur en sait aucun gré (A
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lus larges entre les pays, indépendamment de leur
régime
social et politique, sur la base du respect des droits de souverainet
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des États-Unis » — ceux qui n’affectent pas « le
régime
intérieur de tels ou tels États ». On pourrait ainsi aboutir à des ac
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nt22) mais qui prévaut au plus haut degré sous le
régime
actuel, pour des raisons historiques bien définies que M. Molotov vie
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aient par là même de représenter valablement leur
régime
. Ce paradoxe est aussi réel qu’il est gênant. Il nous force à serrer
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araîtront « historiques ». Ils peuvent modeler le
régime
du xxie siècle, qui fascinera les marxistes. Ou enfin cette conclus
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d’autonomie, étudier : 1° les effets concrets du
régime
d’autonomie ; 2° les rapports entre de telles autonomies régionales e
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formiste. Poser le schéma le plus satisfaisant du
régime
fédéral à établir, mais sans se préoccuper suffisamment des moyens de
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sion nécessaires pour forcer l’établissement d’un
régime
fédéraliste, c’est risquer d’une part de ne pas susciter des moyens a
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la libération des pays de l’Est, la transition du
régime
colonial à l’autonomie ou à l’association fédérale, et l’aide aux pay
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la multiplication des efforts qu’entraînerait ce
régime
de dispersion. Avantages d’un regroupement 6. La solution est é
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ire ? où aller ? Tout a été réglé d’avance par le
Régime
. La colombe européenne, elle, sait qu’elle a besoin pour voler de la
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ement civique [introduction] (1960-1961)cj Les
régimes
de droit divin, les théocraties et les dictatures ne demandent que l’
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andent que l’obéissance de leurs sujets. Seul, le
régime
démocratique exige, pour fonctionner, d’être compris par la majorité
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s de persuader la jeunesse de la supériorité d’un
régime
démocratique nouvellement institué », mais de « former l’enfant, de c
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, la démocratie tout récemment reconquise sur des
régimes
autarciques incite à une ouverture réaliste sur l’Europe, et à consid
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athie civique. Cette constatation signifie que le
régime
actuel de nos pays est accepté par la majorité comme allant de soi ;
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hose qu’à la connaissance des formes légales d’un
régime
indiscuté ; rien, ou presque rien, qui situe et qualifie le civisme e
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it de combler certaines lacunes foncières dans le
régime
actuel des échanges, et donnerait une efficacité toute nouvelle au di
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le Conseil de l’Europe, tendant à généraliser ce
régime
de détaxation, qui favoriserait la création ou l’enrichissement rapid
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istrations : elles représentent au contraire leur
régime
normal d’existence, selon la loi de Parkinson. Mais il y a le point d
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ntales, ils se verraient conduits à dépasser leur
régime
de spécialités académiques, à surmonter leur ignorance méthodique des
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lles se résolvent un jour (soit par l’octroi d’un
régime
plus différencié et libéral, soit par une sécession, mais qui souvent
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elle étant la crise présente de l’État-nation, le
régime
à prescrire paraît facile à formuler : Parce qu’ils sont trop petits,
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odernes. Ce ne sont pas les provinces de l’Ancien
Régime
, effacées, encore moins les départements découpés par Napoléon, ni le
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e la polis, avec ses autorités collégiales et son
régime
de participation civique intense, s’opposa durant des siècles à la mo
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us ou moins « citoyens » ou « sujets », selon les
régimes
, mais toujours contribuables. L’Église n’a plus le droit de brûler se
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le qui ne peut mener qu’à la guerre totale et aux
régimes
totalitaires, comme vont le confirmer les événements de 1939-1945. À
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t avec la même connotation de formule périmée, de
régime
« en contradiction avec les besoins vitaux » du monde actuel, qui est
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e substituant dans un laps de temps prévisible au
régime
des États-nations. Citons ici les passages les plus caractéristiques
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mener nulle part à plus de liberté, partout à des
régimes
totalitaires, fascistes ou communistes d’étiquette, mais toujours mil
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ent et la formation professionnelle, l’emploi, le
régime
hospitalier, la protection de l’environnement, enfin la production et
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ndestine en faveur des situations sociales ou des
régimes
qui se prêtent le mieux aux calculs prévisionnels. L’État totalitaire
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ogrès par la production annonçaient à la fois les
régimes
de dictature puritaine (dont le stalinisme allait donner le modèle) e
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oulevait, et remettait en cause sa suprématie. Un
régime
fondé sur la coopération volontaire, qui aurait partagé équitablement
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aste avec ce que pratiquent la plupart des autres
régimes
asiatiques et africains hâtivement bricolés sur le modèle de l’État-n