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rançais qui ont agi pour l’union, « incapables de
résoudre
leurs problèmes nationaux, tentent lâchement de les transposer au pla
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et dans la mesure des moyens qu’on lui donne, de
résoudre
. Les obstacles sont psychologiques ? C’est donc en profondeur qu’il n
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ans son plan. En revanche, il se transforme et se
résout
en un problème européen commun dès que l’on envisage la position de l
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rganismes poserait plus de problèmes qu’elle n’en
résoudrait
. Mais leur offrir des services communs et une inspiration européenne
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nie propre de l’Europe. La musique n’aidera pas à
résoudre
les problèmes de l’union politique de nos peuples, mais elle atteste
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pique de l’Europe que personne n’ait cherché à le
résoudre
d’une manière unilatérale. Ceux qui insistent surtout sur la nécessit
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doivent être appliquées toutes les deux. Cela ne
résout
, bien entendu, aucun problème pratique une fois pour toutes. Mais cel
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ue, mais en leur proposant des tâches concrètes à
résoudre
en commun dans leur domaine, au-delà des impasses nationales, c’est-à
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arce qu’il ignore ceux des autres, et prétend les
résoudre
seul, en toute ignorance des solutions déjà tentées ou trouvées aille
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blèmes communs et de grouper ceux qui peuvent les
résoudre
. Cinq ans plus tard, 1955 : l’idée de coopération est entrée dans les
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de nos manques et une volonté plus déterminée de
résoudre
les difficultés reconnues dans chaque pays, en passant au plan de l’E
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e, appuyé sur une canne, l’œil étrangement vif et
résolu
derrière un lorgnon démodé, et qui me dit avec un accent slave : « Vo
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port… Après beaucoup d’hésitations, le Colonel se
résout
à signer un papier autorisant son porteur à se rendre en Suisse. C’es
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encontre et de coopération aux hommes qui peuvent
résoudre
ces problèmes ; puis placer les résultats de ces travaux à la disposi
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ons pas tous d’accord sur la meilleure manière de
résoudre
telle ou telle situation politique concrète (l’Algérie, Cuba, Berlin,
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artout, on dit attendre une aide européenne, pour
résoudre
des tâches nationales, et qui étaient même, naguère, le domaine réser
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et particulièrement l’esprit européen, ne peut se
résoudre
à ce que les routines et l’utilité immédiate suffisent à justifier l’
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roblème que l’Europe seule me paraît en mesure de
résoudre
, parce qu’elle seule l’a posé dans l’histoire, c’est celui de l’Un et
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ns pour la seule possible et désirable. ⁂ Comment
résoudre
ce problème dans le cadre qui nous intéresse ici, celui de l’Universi
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e de compétences éprouvées pourrait aider sinon à
résoudre
le problème, du moins à définir ses termes, à décrire ses vraies dime
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ogne —, crises dont il est concevable qu’elles se
résolvent
un jour (soit par l’octroi d’un régime plus différencié et libéral, s
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sur autre chose que les États-nations. Renoncer à
résoudre
le problème de l’union, c’est faire, en somme, ce que l’on fait actue
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erait facile de multiplier ce type de problèmes à
résoudre
au niveau communal, régional, national-fédéral et continental. c) Le
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s. Et ce sont les frontières qui empêchent de les
résoudre
. Ou plus exactement : c’est le dogme de la souveraineté nationale abs
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et non pas stato-national. Toute tentative de les
résoudre
à l’échelon national, c’est-à-dire entre capitales, ne peut qu’étouff
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à peine mis en place les instruments capables de
résoudre
virtuellement ces problèmes économiques et commerciaux, on a vu que c
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Genève. Le problème est partout le même : comment
résoudre
ces difficultés concrètes en dépit de l’obstacle que constituent les
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aucun des grands problèmes mondiaux ne peut être
résolu
dans un cadre national, la raison exige l’édification rapide de systè
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donc sa ruine — c’est cela aussi qui l’empêche de
résoudre
la crise qu’elle a fomentée, et qu’elle entretient. Si les Européens
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pas à s’unir au-delà de leurs États-nations, ni à
résoudre
le complexe systémique de leurs problèmes économiques-écologiques-civ