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ue de la révolution spirituelle déclenchée par le
romantisme
; elle y a pris part, elle l’a continué, elle n’a rien désavoué de so
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mis en doctrine tôt après par les philosophes du
romantisme
allemand, Hegel et Fichte, puis chanté par les poètes « nationaux » d
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qu’il soit peintre ou ingénieur. Mais à partir du
romantisme
, celui qui exerce un art est appelé un artiste, et il n’est plus cens
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l’époque de l’Aufklärung, de la Révolution et du
romantisme
, déborde nécessairement son « objet » scientifique. En fait, Gollwitz
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hèse de doctorat sur Le Conte fantastique dans le
romantisme
français, publiée en librairie deux ans plus tard. Puis il s’inscrit
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rend une Histoire de la littérature française, du
romantisme
à nos jours, qu’il achèvera à Munich49. Parallèlement, et dès 1909, i
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u’il est seul à pouvoir dire (surtout à partir du
romantisme
), mais en même temps il publie, il expose, il ambitionne d’être joué
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L’enseignement de l’histoire des arts, depuis le
romantisme
, est dominé par la notion de chefs-d’œuvre ou d’œuvre individuelle fa
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xe siècle : roman, gothique, classique, baroque,
romantisme
, réalisme, impressionnisme, cubisme, surréalisme, abstraction, etc. —
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critique, depuis l’avènement presque simultané du
romantisme
, du nationalisme, et de l’instruction publique. Il importe de situer