1
rs efforts à l’union de l’Europe, c’est-à-dire au
service
d’une cause qui se confond aujourd’hui avec celle des hommes libres.
2
jourd’hui qu’en réalité tout reste à faire. Notre
service
d’articles de revues, Europa Features, a placé de bons articles, mais
3
s de coopérer, sont dus à des malentendus. Un bon
service
de public relations — qui nous manque encore — pourrait y remédier. M
4
ve à toutes les autres, et demande aux autres des
services
, par le moyen de ce clearing house que veut être le CEC. C’est pourqu
5
autre se manifeste sans réserve, expressément, au
service
de l’Europe, cela pourrait suffire à nous sauver. Mais je n’en vois p
6
ne. Un réseau d’influences très diverses mises au
service
de l’idéal d’union. Une occasion pour quelques personnalités soucieus
7
organisés par l’intermédiaire du secrétariat. Un
service
d’informations mutuelles sur les nouveautés intéressantes dans le dom
8
e l’expérience de nombreuses années de travail au
service
des œuvres sociales et éducatives de l’YMCA (problèmes des réfugiés e
9
à 50 000 exemplaires distribués au public par les
services
officiels russes, tandis que 1000 exemplaires sont confiés à l’ambass
10
trois langues, de sa brochure Saison 1956. Notre
service
de presse APEA a fait paraître 170 articles sur les problèmes europée
11
mes qu’elle n’en résoudrait. Mais leur offrir des
services
communs et une inspiration européenne commune paraît au contraire pos
12
voilà la raison de la récente création de notre «
Service
européen de conférences ». Et de notre plan — prêt à se réaliser — d’
13
le CEC dès 1949. — Création des Europa Features,
Service
d’articles de revues. — Création de l’Association européenne des fest
14
emier Séminaire automation-loisirs. — Création du
Service
de conférences. — Premier Annuaire des instituts d’études européennes
15
Institut technologique européen. — Ouverture d’un
service
de Documentation et publication de deux brochures sur le Marché commu
16
r volonté de concentrer autant que possible leurs
services
et leurs assemblées, un effort parallèle doit être entrepris dans le
17
tion de cette première série. M. Kormoss, chef du
service
cartographique du Collège d’Europe (Bruges), a coopéré aux travaux pr
18
ublications, plans de causeries et brochures, ses
services
d’articles, de documentation et de conférences. On connaît également
19
ndications locales, la liberté individuelle et le
service
communautaire, l’Autorité et le Pouvoir. Le fédéralisme existe, au se
20
n de leurs cours généraux d’une part, et de leurs
services
administratifs d’autre part ; 3° organisation par le staff permanent
21
eterre, en Italie et en Espagne, rendrait un beau
service
à la cause de l’Europe. cb. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] H
22
ire, à citer, à situer, et par là rendra d’autres
services
aux étudiants de la réalité européenne qu’un Spengler, un Toynbee, un
23
a plus grande Europe, pour elle seule, à son seul
service
, conscients de servir du même coup la cause de l’unité mondiale. Si r
24
r volonté de concentrer autant que possible leurs
services
et leurs assemblées, un effort parallèle doit être entrepris dans le
25
l’unité et la diversité, la vocation unique et le
service
communautaire, et d’abord l’amour du prochain comme de soi-même. Q
26
r en lui l’amour de son pays et de le préparer au
service
de la communauté ». En Grande-Bretagne enfin, point d’idéologie polit
27
fille — de créer une organisation clandestine au
service
de l’unité européenne, en s’assurant d’abord l’appui d’hommes du form
28
rsonnels les plus variés, et même les vanités, au
service
de quelque chose qui dépassait inexplicablement la somme des valeurs
29
anisation tout à fait distincte de l’Intelligence
Service
, et chargée de soutenir les mouvements de résistance clandestins sur
30
ts de résistance clandestins sur le continent. Le
service
comptait 3000 officiers, 2000 femmes et 300 soldats, et il fournit un
31
quement, on pourrait attendre de tels centres les
services
suivants : 1. Documentation — Bibliographies critiques des liv
32
arce qu’il est en relations constantes avec leurs
services
d’information. En revanche, il a constitué ses propres archives sur v
33
seigner dans une douzaine de capitales, auprès de
services
officiels qui ne sont pas toujours en contact avec la culture vivante
34
pe de conseillers aux compétences variées ; et un
service
d’information sur les sujets opportuns, les ouvrages déjà parus, les
35
enté d’abord par M. Paul M. G. Lévy, directeur du
Service
d’information. Plus tard, le Conseil de coopération culturelle (CCC)
36
anges et de l’orientation des flux de biens et de
services
tant culturels qu’économiques et techniques, enfin chercherait à prév
37
notamment accrédité l’idée que l’économie est au
service
des desseins politiques d’un État et non pas de la prospérité de ses
38
ramme de base de l’Ordre nouveau préconisait un
service
civil universel prenant « la relève du Travail » : L’Ordre nouveau
39
nous permet d’atteindre l’objectif que visait le
Service
civil. La négation (Aufhebung) de la condition prolétarienne ne sera
40
civisme tactique — les deux énoncés impliquant le
service
des finalités que l’on assigne à la cité, et non pas le service de la
41
nalités que l’on assigne à la cité, et non pas le
service
de la cité comme le voulaient Platon, Maurras, Staline, Hitler et le
42
besoins et de ressources, de flux de biens et de
services
, d’urbanisation et de taux de croissance, qui ne saurait coïncider qu
43
t, il s’est lui-même dénaturé : au lieu d’être au
service
de la communauté, il est devenu — au moins en prétention — le Souvera
44
pables d’entraver la circulation des biens et des
services
, mais non pas d’arrêter la pollution, les ondes, les tempêtes, la pro
45
mesure qu’un tissu solide d’échanges de biens, de
services
et de personnes, se nouera entre les régions. 3. Les solutions aux pr
46
ERN et le Super-CERN près de Genève, réalisent au
service
de l’Europe entière ce qu’aucun de nos États, a fortiori de nos régio
47
es : « La réforme des régions, c’était le dernier
service
que je pouvais rendre à la France. » « Partir sur le refus d’une gran
48
, mais son goût puissant de la vie et son sens du
service
de la cité n’ont cessé de le ramener aux grands postes publics, quand