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de vouloir une Europe unie, réside dans la menace
soviétique
. La peur, affirme-t-on, serait le vrai ressort du mouvement vers l’in
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usses, mais de nos divisions. L’offensive de paix
soviétique
ne change rien au fait fondamental que nos pays sont trop petits pour
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raintes ou rancunes entretenues par la propagande
soviétique
. À cause de l’ignorance ou de la mauvaise éducation historique de l’o
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et leurs satellites en Asie. Mais le colonialisme
soviétique
, lui, nous menace à bout portant : il a déjà conquis nos six nations
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oussée de la révolte asiatique et du colonialisme
soviétique
, une Europe persistant à rester désunie doit rapidement périr par asp
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réponse à tout. Et de même aujourd’hui, la Russie
soviétique
offre ou impose à l’homme des masses plus de sécurité et beaucoup moi
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nds d’unir l’Europe ne dépendent pas de la menace
soviétique
. Ils seraient à peu près les mêmes si l’URSS n’existait pas à nos fro
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ns ils représenteraient l’Europe réelle.) Du côté
soviétique
, on sait bien qui commande, et quelle discipline de pensée se voit ex
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ve dans le domaine culturel, du seul fait que les
Soviétiques
n’ont pas donné les suites espérées à leurs ouvertures officielles de
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hez un grand nombre d’intellectuels et d’artistes
soviétiques
, et nous fait un devoir de tout mettre en œuvre, avec une patience in
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vident — et souligné par M. Molotov — que l’Union
soviétique
ne veuille (et ne puisse) accepter aucune espèce de libre échange d’i
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es surveillés, limités, filtrés par les autorités
soviétiques
, mais échanges tout de même. Échangeons, échangeons, il en restera to
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ulturels doit être clarifiée. Pour les dirigeants
soviétiques
, les échanges ont un but principal : obtenir des informations scienti
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ne sont qu’une occasion de présenter la dictature
soviétique
sous des aspects qui flattent notre intelligentsia dans certains de s
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es (ou post-staliniennes). Pour les intellectuels
soviétiques
du type Cholokhov, on peut imaginer que les échanges répondraient à u
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Elle est loin d’avoir disparu chez les dirigeants
soviétiques
. Ceux-ci sont payés pour savoir que leur révolution est venue de l’ét
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conditions et prix commerciaux normaux. Les films
soviétiques
sont déjà introduits en Europe occidentale à de telles conditions. »
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mière déclaration de M. Molotov et la proposition
soviétique
(31 octobre 1955) M. Molotov rappelle que le Soviet suprême de l’U
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t provoqué un grand intérêt parmi les spectateurs
soviétiques
… Vous voyez que les premiers succès sont incontestables. Mais nous av
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ur la base des 17 points occidentaux et du projet
soviétique
, jusqu’au 14 novembre.) B. Résultats I. Les réponses soviéti
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novembre.) B. Résultats I. Les réponses
soviétiques
Le 14 novembre, M. Molotov ayant réaffirmé la volonté soviétique d
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4 novembre, M. Molotov ayant réaffirmé la volonté
soviétique
d’obtenir des échanges commerciaux totalement libres, aborde en ces t
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ires intérieures de certains États… La délégation
soviétique
ne peut dire qu’une chose : elle ne peut pas accepter pour examen des
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it ici (en juillet) que les dirigeants de l’Union
soviétique
auraient essayé d’isoler leur peuple des contacts avec le monde extér
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ement… Toutefois, nous ne cachons pas que l’Union
soviétique
n’accordait pas avant et n’accordera pas à l’avenir une telle « liber
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que « les propositions déposées par la délégation
soviétique
, ainsi qu’un nombre de points du projet de la France, de la Grande-Br
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s. …Mais les seules barrières que le gouvernement
soviétique
juge important de supprimer sont les contrôles de matériel stratégiqu
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ue, tout simplement, elle arrange le gouvernement
soviétique
. (16 novembre) : Je m’inquiète de ce que la délégation soviétique
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ovembre) : Je m’inquiète de ce que la délégation
soviétique
ne semble pas gênée par l’échec de cette conférence… N’y aurait-il pa
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Pinay (14 novembre) : En fait, les propositions
soviétiques
sacrifient les échanges d’idées aux échanges techniques. Aucune indic
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ations… La seule réponse que fait le gouvernement
soviétique
à nos propositions constructives et conciliantes est de nous demander
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fiance actuelle disparaîtrait, si les populations
soviétiques
étaient en mesure de nous connaître, tels que nous sommes et non plus
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les (14 novembre) : Les voyages, pour le citoyen
soviétique
, ne sont pas ce qu’on nomme d’ordinaire voyages d’affaires ou de plai
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changes) …confirme le fait que le système du bloc
soviétique
est fondé sur des conditions artificielles qui ne peuvent tolérer le
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e contact avec le monde extérieur. Les dirigeants
soviétiques
semblent effrayés par l’idée que leur système serait ébranlé si le pe
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d’être obligé de constater que le nouveau projet
soviétique
… ne contient pratiquement rien qui puisse permettre un échange d’idée
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nos peuples n’a été jugée acceptable par l’Union
soviétique
. Celle-ci ne s’intéresse qu’aux contacts qui lui permettraient d’obte
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ropositions occidentales du 31 octobre Réponses
soviétiques
du 14 novembre 1. Suppression de la censure Non 2. Ouvertur
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onté de paix : tout nous porterait à proposer aux
Soviétiques
, et même à revendiquer comme un des droits démocratiques fondamentaux
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nous sommes très conscients de ce que la culture
soviétique
est fondée sur le principe autoritaire et unitaire que la plupart des
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c’est-à-dire à trahir la mission que l’idéologie
soviétique
lui attribue dans l’État. Autrement dit : si le dialogue « à l’occide
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e-URSS à proprement parler, car les intellectuels
soviétiques
, acceptant au départ nos présuppositions, se rangeraient en esprit de
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Nous irons plus loin, à la rencontre des souhaits
soviétiques
. Nous ne reprendrons pas à notre compte, dans les propositions qui su
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emandes « inacceptables » aux yeux des dirigeants
soviétiques
— et déjà refusées par eux — que présentaient récemment à Genève les
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e acceptées même partiellement par les dirigeants
soviétiques
, dans les conjonctures actuelles et selon la logique de leur dogme d’
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e contacts exprimés par de nombreux intellectuels
soviétiques
(ex. lettre de Cholokhov) et par les dirigeants du Kremlin eux-mêmes
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point passibles des reproches que les dirigeants
soviétiques
, par leur porte-parole à Genève, ont adressés, très logiquement de le
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iles à l’homme. Et si je parle de nous, écrivains
soviétiques
, je peux dire que nous voudrions sincèrement que nos relations amical
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ces puissances ? dans quelle mesure ? L’écrivain
soviétique
en est-il libéré ? À quel prix ?) 4. Devoir d’orthodoxie et droit à l
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ire en Italie.) 6. Écrits européens sur l’URSS et
soviétiques
sur l’Europe. (Ce que chacun pense de ses portraits par l’autre. Faut
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èses de travail) soient jugés inopportuns par les
Soviétiques
, pour des raisons que nous ignorons aujourd’hui. Dans ce cas, nous so
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s amorcerait une discussion intéressante. Du côté
soviétique
, on se demandera sans doute pourquoi nous tenons à ce dialogue. Répon
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exprimé par un très grand nombre d’intellectuels
soviétiques
avec une insistance croissante, et par leurs autorités, au cours de c
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s suivantes : Équipe de sociologues.— Des revues
soviétiques
exprimaient récemment le désir que leurs collaborateurs s’informent m
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cipation, déjà acquise, de délégations de savants
soviétiques
aux grands congrès, tels que la conférence atomique de Genève, ne sau
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r un guide. Il en va de même des expositions. Les
Soviétiques
redoutent à juste titre qu’on ne les « utilise » à des fins politique
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les à imaginer. Les exécutions musicales d’œuvres
soviétiques
sont quasi quotidiennes en Occident· : Prokofiev, Chostakovitch et Ka
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erts européens en URSS. En revanche, les concerts
soviétiques
en Europe pourraient être accompagnés des commentaires habituels ratt
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appartient en effet à la définition de la culture
soviétique
, et il s’agirait de présenter celle-ci aux Européens dans son climat
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autre des expositions de livres et de revues. Les
Soviétiques
peuvent et doivent redouter la libre diffusion de nos ouvrages et de
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gés, du même coup, de penser que les propositions
soviétiques
d’échanges culturels sont vides de tout contenu concret, et de toute
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l que souhaitent, nous le savons, leurs confrères
soviétiques
, ils devraient faire campagne pour une autre forme de réciprocité, la
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la paix, — objectif proclamé sans relâche par les
Soviétiques
. Nous sommes conscients de la pression diffuse et sans cesse croissan
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qu’exerce une partie au moins de l’intelligentsia
soviétique
en faveur d’échanges culturels — libres ou contrôlés, peu importe, ma
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honnête, un « dialogue » mettant en présence dix
Soviétiques
et dix Européens, ces derniers se composant de trois communistes, deu
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le dialogue (février 1956)ar as Les réactions
soviétiques
— officielles ou privées — sont en général très lentes, on assez brus
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déclare surpris par « l’uniformité de la peinture
soviétique
» (France-Soir, 19 janvier 1956). Selon lui, les peintres russes ne s
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oi sommes-nous choqués par les excès américain et
soviétique
? Pourquoi les ressentons-nous comme des excès ? Sinon parce que le s
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umis à l’occupation ou à l’influence de la Russie
soviétique
. C’est ce qu’on appelle le « rideau de fer ». D’autre part, les barri
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s sont les pays européens dominés par l’influence
soviétique
? 5. Pourquoi parle-t-on d’union européenne ? 6. Citez trois organisa
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dalité). — La réalité et les mythes du communisme
soviétique
, version brutalement simplifiée de certaines valeurs et procédés de l
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e capitaliste américain, et de rejeter le système
soviétique
. Mais ce même paradoxe, inversé, se reproduit dans le camp de la libe
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oi sommes-nous choqués par les excès américain et
soviétique
? Pourquoi les ressentons-nous comme des excès ? Sinon parce que le s
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que se font jour dans la plus récente littérature
soviétique
des signes non trompeurs d’une nouvelle faim de liberté. Je vous acco
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débrouiller seul, de chasser pour son compte. Un
Soviétique
russe ou chinois eût invoqué le rendement technique dans le cadre du
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: civisme égale obéissance au Parti La Russie
soviétique
n’a pas de ministère central de l’Éducation (chacun des États garde l
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cialement consacrées à l’étude de la Constitution
soviétique
et des « droits » du citoyen (qui sont ses devoirs envers la « constr
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s qu’elles ramènent tout à la doctrine socialiste
soviétique
. Cette imprégnation idéologique apparaît d’une manière non moins fra
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opposer à la doctrine totalitaire, ou socialisme
soviétique
, une « doctrine capitaliste » officielle et imposée, et cela pour l’e
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it M. Oppenheimer, aux problèmes esthétiques. Les
Soviétiques
, eux-mêmes, ont découvert cela récemment : après une période de spéci
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qui compare l’éducation américaine et l’éducation
soviétique
, l’auteur américain prétend que le jeune soviétique de 7e année qui f
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viétique, l’auteur américain prétend que le jeune
soviétique
de 7e année qui fait de l’anglais en sait davantage sur les littératu
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que de « chimie allemande » ou de « mathématiques
soviétiques
», car avant tous ces découpages arbitraires, il y a la grande commun
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entaires, ni la dictature fasciste, ni l’étatisme
soviétique
, n’envisagent la suppression de cette forme moderne de l’esclavage.10
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tadt coupables d’avoir demandé que les dirigeants
soviétiques
« tiennent compte de l’avis des ouvriers » (Résolution de mars 1921).
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yablement calculé par les écologistes américains,
soviétiques
et européens. Pour la première fois dans l’histoire, l’homme se voit
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ent socialiste. Si elle s’oppose à l’impérialisme
soviétique
, elle conduit à une République populaire nationale et socialiste à di