1 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
1 de vouloir une Europe unie, réside dans la menace soviétique . La peur, affirme-t-on, serait le vrai ressort du mouvement vers l’in
2 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
2 usses, mais de nos divisions. L’offensive de paix soviétique ne change rien au fait fondamental que nos pays sont trop petits pour
3 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
3 raintes ou rancunes entretenues par la propagande soviétique . À cause de l’ignorance ou de la mauvaise éducation historique de l’o
4 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
4 et leurs satellites en Asie. Mais le colonialisme soviétique , lui, nous menace à bout portant : il a déjà conquis nos six nations
5 oussée de la révolte asiatique et du colonialisme soviétique , une Europe persistant à rester désunie doit rapidement périr par asp
5 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
6 réponse à tout. Et de même aujourd’hui, la Russie soviétique offre ou impose à l’homme des masses plus de sécurité et beaucoup moi
6 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
7 nds d’unir l’Europe ne dépendent pas de la menace soviétique . Ils seraient à peu près les mêmes si l’URSS n’existait pas à nos fro
8 ns ils représenteraient l’Europe réelle.) Du côté soviétique , on sait bien qui commande, et quelle discipline de pensée se voit ex
7 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi nous persévérons (décembre 1955)
9 ve dans le domaine culturel, du seul fait que les Soviétiques n’ont pas donné les suites espérées à leurs ouvertures officielles de
10 hez un grand nombre d’intellectuels et d’artistes soviétiques , et nous fait un devoir de tout mettre en œuvre, avec une patience in
11 vident — et souligné par M. Molotov — que l’Union soviétique ne veuille (et ne puisse) accepter aucune espèce de libre échange d’i
12 es surveillés, limités, filtrés par les autorités soviétiques , mais échanges tout de même. Échangeons, échangeons, il en restera to
13 ulturels doit être clarifiée. Pour les dirigeants soviétiques , les échanges ont un but principal : obtenir des informations scienti
14 ne sont qu’une occasion de présenter la dictature soviétique sous des aspects qui flattent notre intelligentsia dans certains de s
15 es (ou post-staliniennes). Pour les intellectuels soviétiques du type Cholokhov, on peut imaginer que les échanges répondraient à u
8 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
16 Elle est loin d’avoir disparu chez les dirigeants soviétiques . Ceux-ci sont payés pour savoir que leur révolution est venue de l’ét
9 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
17 conditions et prix commerciaux normaux. Les films soviétiques sont déjà introduits en Europe occidentale à de telles conditions. »
18 mière déclaration de M. Molotov et la proposition soviétique (31 octobre 1955) M. Molotov rappelle que le Soviet suprême de l’U
19 t provoqué un grand intérêt parmi les spectateurs soviétiques … Vous voyez que les premiers succès sont incontestables. Mais nous av
20 ur la base des 17 points occidentaux et du projet soviétique , jusqu’au 14 novembre.) B. Résultats I. Les réponses soviéti
21 novembre.) B. Résultats I. Les réponses soviétiques Le 14 novembre, M. Molotov ayant réaffirmé la volonté soviétique d
22 4 novembre, M. Molotov ayant réaffirmé la volonté soviétique d’obtenir des échanges commerciaux totalement libres, aborde en ces t
23 ires intérieures de certains États… La délégation soviétique ne peut dire qu’une chose : elle ne peut pas accepter pour examen des
24 it ici (en juillet) que les dirigeants de l’Union soviétique auraient essayé d’isoler leur peuple des contacts avec le monde extér
25 ement… Toutefois, nous ne cachons pas que l’Union soviétique n’accordait pas avant et n’accordera pas à l’avenir une telle « liber
26 que « les propositions déposées par la délégation soviétique , ainsi qu’un nombre de points du projet de la France, de la Grande-Br
27 s. …Mais les seules barrières que le gouvernement soviétique juge important de supprimer sont les contrôles de matériel stratégiqu
28 ue, tout simplement, elle arrange le gouvernement soviétique . (16 novembre) : Je m’inquiète de ce que la délégation soviétique
29 ovembre) : Je m’inquiète de ce que la délégation soviétique ne semble pas gênée par l’échec de cette conférence… N’y aurait-il pa
30 Pinay (14 novembre) : En fait, les propositions soviétiques sacrifient les échanges d’idées aux échanges techniques. Aucune indic
31 ations… La seule réponse que fait le gouvernement soviétique à nos propositions constructives et conciliantes est de nous demander
32 fiance actuelle disparaîtrait, si les populations soviétiques étaient en mesure de nous connaître, tels que nous sommes et non plus
33 les (14 novembre) : Les voyages, pour le citoyen soviétique , ne sont pas ce qu’on nomme d’ordinaire voyages d’affaires ou de plai
34 changes) …confirme le fait que le système du bloc soviétique est fondé sur des conditions artificielles qui ne peuvent tolérer le
35 e contact avec le monde extérieur. Les dirigeants soviétiques semblent effrayés par l’idée que leur système serait ébranlé si le pe
36 d’être obligé de constater que le nouveau projet soviétique … ne contient pratiquement rien qui puisse permettre un échange d’idée
37 nos peuples n’a été jugée acceptable par l’Union soviétique . Celle-ci ne s’intéresse qu’aux contacts qui lui permettraient d’obte
38 ropositions occidentales du 31 octobre Réponses soviétiques du 14 novembre 1. Suppression de la censure Non 2. Ouvertur
10 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
39 onté de paix : tout nous porterait à proposer aux Soviétiques , et même à revendiquer comme un des droits démocratiques fondamentaux
40 nous sommes très conscients de ce que la culture soviétique est fondée sur le principe autoritaire et unitaire que la plupart des
41 c’est-à-dire à trahir la mission que l’idéologie soviétique lui attribue dans l’État. Autrement dit : si le dialogue « à l’occide
42 e-URSS à proprement parler, car les intellectuels soviétiques , acceptant au départ nos présuppositions, se rangeraient en esprit de
43 Nous irons plus loin, à la rencontre des souhaits soviétiques . Nous ne reprendrons pas à notre compte, dans les propositions qui su
44 emandes « inacceptables » aux yeux des dirigeants soviétiques — et déjà refusées par eux — que présentaient récemment à Genève les
45 e acceptées même partiellement par les dirigeants soviétiques , dans les conjonctures actuelles et selon la logique de leur dogme d’
46 e contacts exprimés par de nombreux intellectuels soviétiques (ex. lettre de Cholokhov) et par les dirigeants du Kremlin eux-mêmes
47 point passibles des reproches que les dirigeants soviétiques , par leur porte-parole à Genève, ont adressés, très logiquement de le
48 iles à l’homme. Et si je parle de nous, écrivains soviétiques , je peux dire que nous voudrions sincèrement que nos relations amical
49 ces puissances ? dans quelle mesure ? L’écrivain soviétique en est-il libéré ? À quel prix ?) 4. Devoir d’orthodoxie et droit à l
50 ire en Italie.) 6. Écrits européens sur l’URSS et soviétiques sur l’Europe. (Ce que chacun pense de ses portraits par l’autre. Faut
51 èses de travail) soient jugés inopportuns par les Soviétiques , pour des raisons que nous ignorons aujourd’hui. Dans ce cas, nous so
52 s amorcerait une discussion intéressante. Du côté soviétique , on se demandera sans doute pourquoi nous tenons à ce dialogue. Répon
53 exprimé par un très grand nombre d’intellectuels soviétiques avec une insistance croissante, et par leurs autorités, au cours de c
54 s suivantes : Équipe de sociologues.— Des revues soviétiques exprimaient récemment le désir que leurs collaborateurs s’informent m
55 cipation, déjà acquise, de délégations de savants soviétiques aux grands congrès, tels que la conférence atomique de Genève, ne sau
56 r un guide. Il en va de même des expositions. Les Soviétiques redoutent à juste titre qu’on ne les « utilise » à des fins politique
57 les à imaginer. Les exécutions musicales d’œuvres soviétiques sont quasi quotidiennes en Occident· : Prokofiev, Chostakovitch et Ka
58 erts européens en URSS. En revanche, les concerts soviétiques en Europe pourraient être accompagnés des commentaires habituels ratt
59 appartient en effet à la définition de la culture soviétique , et il s’agirait de présenter celle-ci aux Européens dans son climat
60 autre des expositions de livres et de revues. Les Soviétiques peuvent et doivent redouter la libre diffusion de nos ouvrages et de
61 gés, du même coup, de penser que les propositions soviétiques d’échanges culturels sont vides de tout contenu concret, et de toute
62 l que souhaitent, nous le savons, leurs confrères soviétiques , ils devraient faire campagne pour une autre forme de réciprocité, la
63 la paix, — objectif proclamé sans relâche par les Soviétiques . Nous sommes conscients de la pression diffuse et sans cesse croissan
64 qu’exerce une partie au moins de l’intelligentsia soviétique en faveur d’échanges culturels — libres ou contrôlés, peu importe, ma
65 honnête, un « dialogue » mettant en présence dix Soviétiques et dix Européens, ces derniers se composant de trois communistes, deu
11 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
66 le dialogue (février 1956)ar as Les réactions soviétiques — officielles ou privées — sont en général très lentes, on assez brus
67 déclare surpris par « l’uniformité de la peinture soviétique  » (France-Soir, 19 janvier 1956). Selon lui, les peintres russes ne s
12 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
68 oi sommes-nous choqués par les excès américain et soviétique  ? Pourquoi les ressentons-nous comme des excès ? Sinon parce que le s
13 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
69 umis à l’occupation ou à l’influence de la Russie soviétique . C’est ce qu’on appelle le « rideau de fer ». D’autre part, les barri
70 s sont les pays européens dominés par l’influence soviétique  ? 5. Pourquoi parle-t-on d’union européenne ? 6. Citez trois organisa
14 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
71 dalité). — La réalité et les mythes du communisme soviétique , version brutalement simplifiée de certaines valeurs et procédés de l
72 e capitaliste américain, et de rejeter le système soviétique . Mais ce même paradoxe, inversé, se reproduit dans le camp de la libe
15 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
73 oi sommes-nous choqués par les excès américain et soviétique  ? Pourquoi les ressentons-nous comme des excès ? Sinon parce que le s
74 que se font jour dans la plus récente littérature soviétique des signes non trompeurs d’une nouvelle faim de liberté. Je vous acco
75 débrouiller seul, de chasser pour son compte. Un Soviétique russe ou chinois eût invoqué le rendement technique dans le cadre du
16 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
76  : civisme égale obéissance au Parti La Russie soviétique n’a pas de ministère central de l’Éducation (chacun des États garde l
77 cialement consacrées à l’étude de la Constitution soviétique et des « droits » du citoyen (qui sont ses devoirs envers la « constr
78 s qu’elles ramènent tout à la doctrine socialiste soviétique . Cette imprégnation idéologique apparaît d’une manière non moins fra
79 opposer à la doctrine totalitaire, ou socialisme soviétique , une « doctrine capitaliste » officielle et imposée, et cela pour l’e
17 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
80 it M. Oppenheimer, aux problèmes esthétiques. Les Soviétiques , eux-mêmes, ont découvert cela récemment : après une période de spéci
81 qui compare l’éducation américaine et l’éducation soviétique , l’auteur américain prétend que le jeune soviétique de 7e année qui f
82 viétique, l’auteur américain prétend que le jeune soviétique de 7e année qui fait de l’anglais en sait davantage sur les littératu
18 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
83 que de « chimie allemande » ou de « mathématiques soviétiques  », car avant tous ces découpages arbitraires, il y a la grande commun
19 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
84 entaires, ni la dictature fasciste, ni l’étatisme soviétique , n’envisagent la suppression de cette forme moderne de l’esclavage.10
85 tadt coupables d’avoir demandé que les dirigeants soviétiques « tiennent compte de l’avis des ouvriers » (Résolution de mars 1921).
20 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
86 yablement calculé par les écologistes américains, soviétiques et européens. Pour la première fois dans l’histoire, l’homme se voit
21 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
87 ent socialiste. Si elle s’oppose à l’impérialisme soviétique , elle conduit à une République populaire nationale et socialiste à di