1 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
1 e la collectivité. Le trait distinctif est ici la spécialisation dirigée par l’État. L’élève qui a réussi ses épreuves de sortie (aprè
2 s, 27 % étant consacrés aux sciences et 67 % à la spécialisation . Quelques jours après ses examens finaux, l’étudiant se voit assigner
3 nce (dressage social et moral) et vers l’âge mûr ( spécialisation toujours plus poussée). L’instruction y prend toute la place, aux dép
2 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)
4 ant de la culture générale du chercheur que de sa spécialisation exclusive, et sans perdre de vue la nécessité d’intégrer chaque disci
3 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
5 e la collectivité. Le trait distinctif est ici la spécialisation dirigée par l’État. L’élève qui a réussi ses épreuves de sorties (apr
6 es, 27 % étant consacré aux sciences et 67 % à la spécialisation . Quelques jours après ses examens finaux, l’étudiant se voit assigner
7 mation technique. Les Russes sacrifient tout à la spécialisation professionnelle, dans le cadre du Plan de production : ils veulent de
8 é fondamentale de maintenir un équilibre entre la spécialisation et la culture générale. Car une fois de plus, de cet équilibre en ten
4 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
9 ue. La question était la suivante : est-ce que la spécialisation résultant de la technique n’est pas un danger pour la culture, étant
10 e la technique apporte beaucoup à la culture ? La spécialisation est certainement un danger pour le spécialiste, dans la mesure où cel
11 qui donne un sens aux activités humaines. Mais la spécialisation technique, il faut bien le signaler, n’est pas moins dangereuse pour
12 hnique et pour le développement scientifique, une spécialisation trop poussée et fermée s’oppose au progrès même, à l’invention. Il ré
13 t découvert cela récemment : après une période de spécialisation presque délirante sous Staline, qui les avait amenés à diviser les ét
14 s créateurs. Il reste évidemment le danger que la spécialisation nécessaire dans beaucoup de branches de la technique ne crée une sort
5 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
15 e la diversité des langues ne serait autre que la spécialisation des métiers et par suite des jargons de métier — spécialisation exigé
16 des métiers et par suite des jargons de métier — spécialisation exigée par les dimensions mêmes d’un projet qui consistait à dépasser
17 ère de brillant vulgarisateur scientifique et une spécialisation qui lui vaudrait sans doute le prix Nobel, mais au prix de son ambiti
18 me solution concevable consisterait à réfréner la spécialisation . Je la tiens également pour illusoire. Certes, on peut soutenir que l
19 t pour illusoire. Certes, on peut soutenir que la spécialisation du savoir, loin de représenter un progrès, n’est littéralement qu’une
20 ue tous les gains partiels, additionnés, dus à la spécialisation , ne combleront jamais, et toujours moins. C’est gagner le monde par p
21 u prix de son âme. Il n’en reste pas moins que la spécialisation dans l’Université ne peut aller qu’en croissant, sous la double press
22 c la chercher en avant : accepter le mouvement de spécialisation , mais le pousser jusqu’à ce point où l’étude la plus exigeante d’une
23 problème posé par l’accroissement babélique de la spécialisation . Sur le problème de l’explosion des effectifs universitaires, je n’au