1 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
1 e subdivisent en 24 sous-branches, comprenant 295 spécialités et 510 sous-spécialisations. Le plan d’étude est rigoureusement presc
2 n d’étude est rigoureusement prescrit pour chaque spécialité  : l’élève n’a aucun droit d’option et il n’existe pas de cours facult
2 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Nouvelles culturelles européennes (août-septembre 1956)
3 ême. Un groupe de correspondants (par pays et par spécialité ) nourrira d’informations ce bulletin mensuel. Un groupe d’experts vér
3 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)
4 ui soient aussi bien formés que possible dans une spécialité donnée mais qui, en même temps, prennent conscience de l’ensemble cul
5 turel et humain au sein duquel se développe cette spécialité , et dont elle se nourrit. 3. Un enseignement supérieur donné au nive
4 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
6 e subdivisent en 24 sous-branches, comprenant 295 spécialités et 510 sous-spécialisations. Le plan d’étude est rigoureusement presc
7 n d’étude est rigoureusement prescrit pour chaque spécialité  : l’élève n’a aucun droit d’option et il n’existe pas de cours facult
5 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
8 r deux raisons principales :   1. Une addition de spécialités ne fait pas une culture vivante et ne la représente pas. (L’addition
6 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
9 t savoir quels sont les titres qui intéressent sa spécialité et les branches connexes de la culture. Nous ne voulons pas donner de
7 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
10 t-à-dire à tout ce qui définit le sens même de sa spécialité dans l’ensemble des activités humaines. Le spécialiste qui n’est que
11 és à diviser les études en plusieurs centaines de spécialités et sous-spécialités, sans aucune possibilité d’option pour les étudia
8 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
12 s non seulement entre les facultés mais entre les spécialités qui prolifèrent dans une même faculté tendent à devenir infranchissab
13 les. Dans l’univers du savoir humain, facultés et spécialités sont en train de s’éloigner les unes des autres avec une vitesse croi
14 s se verraient conduits à dépasser leur régime de spécialités académiques, à surmonter leur ignorance méthodique des domaines qui n
15 spirituel et dans l’incohérence babélique de ses spécialités sans communication, et de la pluralité de ses recherches sans référen
16 systématique des résultats en soi acquis par les spécialités . Toute synthèse est un acte créateur, intervenant au carrefour de plu
17 à l’heure : professeurs de tous âges et de toutes spécialités , et futurs professeurs déjà gradués, d’une part ; responsables des do
18 colloque, et ils ne peuvent appartenir à la même spécialité . Et quant au contenu : seuls sont portés au programme les sujets par
9 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
19 toyen. Pourquoi l’art serait-il seul à rester une spécialité de luxe, réservée aux seuls artistes professionnels ? Alors que la vi
20 r une sorte de luxe, de branche accessoire, ou de spécialité auxiliaire et « optionnelle » n’intéressant que les sujets vraiment d