1
parasites. On veut bien faire état d’une culture
supérieure
et de ses antiques traditions, mais on refuse d’en payer les frais co
2
i une formule neuve pour notre réunion du Conseil
supérieur
: les responsables de nos activités vont chacun présenter leur rappor
3
e que par l’éducation, laquelle est antérieure et
supérieure
à l’individu. Nous voulons ici cette Europe, comme le moyen pour les
4
oyens d’une « européanisation » de l’enseignement
supérieur
. Ils ont décidé la création d’une Association des universitaires d’Eu
5
meilleurs sont autorisés à poursuivre des études
supérieures
et à préparer un doctorat. Au cours des dernières vingt-cinq années,
6
rta aux auteurs un total de droits plusieurs fois
supérieur
au montant nominal du Prix. Aujourd’hui, les circonstances ont évolué
7
jouira de constater que ce résultat est largement
supérieur
à la moyenne obtenue par des enquêtes similaires. De plus, les refus
8
l’ΑΙΕΕ, et qui atteint rapidement un tirage très
supérieur
à celui des bulletins ordinaires. Ce sont ensuite le numéro spécial s
9
é aux problèmes posés par l’enseignement européen
supérieur
, et notamment par les divers projets, en cours de discussion, tendant
10
ussée au-delà de ce que peuvent donner les écoles
supérieures
existantes en Europe. La question envisagée dans ce rapport sera donc
11
ité, et dont elle se nourrit. 3. Un enseignement
supérieur
donné au niveau européen devra donc répondre aux deux exigences suiva
12
Nécessité d’instituts techniques 4. Les écoles
supérieures
existantes ont pour fonction d’enseigner les notions de base, d’infor
13
é ci-dessus. Ce n’est qu’au niveau des recherches
supérieures
et d’avant-garde, si importantes pour maintenir l’Europe dans la comp
14
s divers au cours des siècles, mais antérieure et
supérieure
à tous les découpages successifs de nos frontières nationales, l’unio
15
meilleurs sont autorisés à poursuivre des études
supérieures
et à préparer un doctorat. Au cours des dernières 25 années, trois su
16
explosion au sein des institutions d’enseignement
supérieur
: explosion du savoir, qui se traduit par un accroissement continuel
17
arder le nombre des établissements d’enseignement
supérieur
. D’une part, les universités existantes seraient progressivement libé
18
re à permettre de nouveau le commerce des esprits
supérieurs
des disciplines les plus diverses à un très haut niveau de précision
19
s tiennent pas, au fond et systématiquement, pour
supérieures
à la nôtre, par une sorte de réflexe de surcompensation. La seconde t
20
pourquoi ni comment par la vogue dans les castes
supérieures
d’une doctrine de l’Absolu et de l’Âme impersonnelle qui eut pour eff
21
: L’unité de la culture européenne, antérieure et
supérieure
aux « cultures nationales » Ce qui s’oppose à l’union de l’Europe
22
tré sur l’Île-de-France « ne se reconnaît plus de
supérieur
au monde », traite donc l’empire de haut en bas (faute d’avoir pu se
23
ec la simple unité locale. Mais entre ces limites
supérieure
et inférieure la possibilité peut exister de plusieurs solutions inte
24
’État-nation conquérant ; b) trouve aux échelons
supérieurs
de la fédération les possibilités de participer à des tâches plus vas
25
la fédération continentale, puis mondiale. L’État
supérieur
(fédération nationale ou continentale) doit garder un rôle d’impulsio
26
iolences inouïes. Avec une population quatre fois
supérieure
à celle des pays industrialisés, le tiers-monde — il faut oser le dir
27
dinaire densité des établissements d’enseignement
supérieur
dans la région lémano-alpine (16 pour le moment, en prolongeant la ré