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fédération. Mais il faut les aider tout d’abord à
survivre
(c’est une question de budgets locaux, non nationaux), ensuite à se f
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cipale de son présent abaissement. Elle ne pourra
survivre
, et sauver la civilisation, que si elle s’unit. « D’ici vingt-cinq an
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ux-cents divisions. Si l’Europe doit s’unir pour
survivre
, c’est qu’elle est affaiblie par ses propres barrières, qui paralysen
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e, comme une exhortation à répondre à l’appel qui
survit
au martyre de Budapest. Il faut absolument faire l’Europe, et tout de
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qu’elle soit pour autant fatale. Si nous voulons
survivre
, il faut l’union ; mais cette union ne se fera pas d’elle-même ou par
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es nations, et nulle d’entre elles ne saurait lui
survivre
. Elles peuvent la tuer par leurs rivalités, comme elles l’ont déjà pr
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eulement, il n’est pas du tout sûr que l’humanité
survivra
jusque-là. En effet, l’accroissement de la production industrielle, q
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ser si l’on veut que notre espèce tout simplement
survive
. Et alors, la question qui vient immédiatement aux lèvres est celle-c
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et en question semble avoir fait son temps, qu’il
survit
peut-être à sa raison d’être, qu’il est trop vieux. Et l’on publie :
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s auteurs en Appendice. 131. Bernard Cazes, dans
Survivre
au futur ? recueil d’interviews par G. R. Urban, Paris, 1973. 132. L
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is qu’elles se créent, dont elles ont besoin pour
survivre
et assurer leur « cohérence nationale », et qui un jour se matérialis