1 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
1 ous les continents de la planète, à l’heure où le tiers-monde l’interroge avec une anxiété mêlée d’arrogance, à l’heure où elle s’i
2 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
2 (55 souhaitaient venir, mais sont occupés dans le tiers-monde à faire ce dont nous tentons ici de mieux voir comment il faut le fai
3 Occidentaux d’aujourd’hui autant qu’aux hommes du tiers-monde , comment et pourquoi ces sous-développés qu’étaient les Européens du
4 tée, consiste au contraire à soutenir que face au tiers-monde il convient que les Européens reprennent conscience de leurs vertus f
5 ement, comme beaucoup le font aujourd’hui dans le tiers-monde encore plus que chez nous. Retenons donc la notion de l’égalité de to
6 traitant surtout des effets de l’adoption par le tiers-monde du plus néfaste de nos produits d’origine : le nationalisme ; mais au
7  : le nationalisme ; mais aussi de l’usage que le tiers-monde voudrait faire de notre socialisme plutôt que de notre libéralisme et
8 its, ou d’essayer de les vendre au rabais dans le tiers-monde , mais bien plutôt de mettre le tiers-monde en garde contre leur usage
9 ans le tiers-monde, mais bien plutôt de mettre le tiers-monde en garde contre leur usage inconsidéré, dans un contexte entièrement
10 r en toute certitude ? L’idée si répandue dans le tiers-monde de « rattraper » l’Occident a-t-elle un sens, quand l’Occident change
11 sme, le statut de la femme en Occident et dans le tiers-monde , enfin le problème de la population. Les publicistes à gros tirage et
3 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
12 re démontré — mais aussi pour répondre au défi du tiers-monde , c’est-à-dire de tous ces États-nations inconsidérément multipliés su
4 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
13 rapide de l’écart entre le niveau de vie dans le tiers-monde et le niveau de vie occidental, — exploitation des ressources terrest
14 tries, donc de la pollution industrielle, dans le tiers-monde , où il y a encore des espaces libres et où l’on s’imagine qu’on pourr
15 ovoquera des réactions brutales. L’écart entre le tiers-monde et l’Occident deviendra insupportable, puis engendrera des violences
16 is supérieure à celle des pays industrialisés, le tiers-monde — il faut oser le dire ! — n’a aucune possibilité matérielle de rejoi
17 équipement technologique et une aide effective au tiers-monde , la prévention des guerres nucléaires et des catastrophes écologiques
5 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
18 colonisation opérée dans la haine et le mépris du tiers-monde qui nous les rend), mais elles ont fouetté technique et industrie, qu
19 libre économique croissant entre l’Occident et le tiers-monde , dégradation générale des relations humaines. Devant la contre-attaqu
6 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
20 tion ou de profit. Ils ont démontré que jamais le tiers-monde ne pourra rejoindre le niveau de vie de l’Occident d’aujourd’hui. Ils
21 ont fait voir accessoirement qu’il y a là pour le tiers-monde une chance historique, qu’il serait fou de mépriser. Et ils peuvent n
22 naïf chez Kipling, annonçait la révolte fatale du tiers-monde et la décolonisation qui s’en suivrait. Et l’atomisation individualis
7 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
23 ui animent l’Europe et les différents secteurs du tiers-monde  ; 2° des modalités de la confrontation de ces cultures. III. Le co
24 incipe de cette crise mondiale et l’impact sur le tiers-monde de « ce qui est venu de l’Europe ».   A. Prenons notre premier exempl
25 odernité décrétée. Le chemin de la paysannerie du tiers-monde vers la société industrielle de demain s’annonce si long que les dang
26 ion démographique des régions les plus pauvres du tiers-monde , 2°) par des famines continentales, 3°) par la pollution des océans,
27 uverainetés nationales, on ne voit pas comment le tiers-monde perdrait sa croyance aveugle dans la validité de la formule stato-nat
28 États-nations serait susceptible d’exercer sur le tiers-monde une influence décisive, orientant les peuples à travers l’élite de le