1
ésunion. 3. L’Europe que nous voulons ne sera pas
unitaire
, ne sera pas un super-État unifié et centralisé, car son génie s’appe
2
ur un lever de rideau L’absence d’une doctrine
unitaire
et obligatoire, en Occident, n’est nullement une cause d’infériorité
3
iétique est fondée sur le principe autoritaire et
unitaire
que la plupart des tsars avaient affirmé (sans toujours l’appliquer s
4
apitalisme n’est pas un système rigide, cohérent,
unitaire
, expliquant tout, de l’atome au bonheur final de l’humanité, en passa
5
ration européenne, dans sa forme fédéraliste, non
unitaire
, que je tiens pour la seule possible et désirable. ⁂ Comment résoudre
6
ve d’imposer à la Terre entière une certaine idée
unitaire
, rationaliste et tenue pour seule « normale » de l’homme, mais au con
7
aussi grande que le tout. L’État-nation moderne,
unitaire
et absolu n’est enfin qu’un empire manqué. Voilà la vérité fondamenta
8
t provenait directement de la structure de l’État
unitaire
, voire, comme le disent plusieurs auteurs, de l’exploitation des régi
9
lesse à long terme de leur position d’obstination
unitaire
. Toute analyse honnête du sous-développement en Europe dégage les deu
10
de manuels s’inspirent eux-mêmes de la tradition
unitaire
, exclusivement : Bodin, Hobbes, le Rousseau mal entendu par les jacob