1 aie vie de l’Europe : foyers locaux de culture et universités , syndicats et paroisses, groupes d’études ou d’échanges, il en est de

2 res, revues et journaux entre les… bibliothèques, universités  », etc., et leur « mise en vente publique sans aucune entrave » dans

3 e (février 1956)al am Cent-vingt professeurs d’ université réunis en congrès à Trieste, en septembre 1955, ont étudié les voies

4 00 instituts techniques existant en URSS (pour 33 universités seulement). L’éducation technique se divise en cinq branches principa

5 sur la région (conduite par le Prof. Girod, de l’ Université de Genève, aidé par trois étudiants, en liaison avec M. Meyer-Heine,

6 udiovisuel, La Haye ; Roger Girod, professeur à l’ Université de Genève ; Erik Halvorsen, Skandinavisk Folkeoplysnings Informations

7 ni d’Europa, Rome ; Giorgio Spini, professeur à l’ Université de Messine ; — ainsi qu’à titre occasionnel : MM. Frank Milligan, Nat

8 condaires et primaires, l’autre des professeurs d’ université . La Journée européenne des Écoles propose chaque année des sujets de

9 Une université européenne [Introduction] (juillet 1958)bv bw Le présent numéro d

10 cours de discussion, tendant à la création d’une Université européenne. On trouvera ci-après l’essentiel des travaux du groupe d’

11 ué de presse annonçant leur décision de créer une Université européenne. Nous avons appris un peu plus tard que la commission dési

12 communautés du 20 mai relatif à la création d’une Université européenne, il a été décidé : — de réunir une conférence sur cet obje

13 européenne, attendez, redoutez ou souhaitez d’une Université européenne. Et il s’agit que vous vous prononciez sur ce sujet en tou

14 . bv. Rougemont Denis de, « [Introduction] Une université européenne ? », Bulletin du Centre européen de la culture : « Une uni

15 Bulletin du Centre européen de la culture : « Une université européenne ? », Genève, juillet 1958, p. 1-3. bw. Texte non signé. O

16 Partons de deux constatations de base : a) Une «  Université européenne » créée sur table rase, et conçue selon la formule classiq

17 , et récemment renouvelés, autour de l’idée d’une Université européenne, idée qui ne cesse d’être vague que pour devenir inquiétan

18 uraient faire l’objet de cours réguliers dans les universités existantes. Ceux qui auront à en tirer parti (pour la recherche ou l’

19 problèmes qui ont conduit à évoquer l’idée d’une Université européenne devrait être envisagée de la manière suivante : 1° créatio

20 Bulletin du Centre européen de la culture : « Une université européenne ? », Genève, juillet 1958, p. 26-29.

21 titre par M. Luis Diez de Corral, professeur à l’ Université de Madrid. L’auteur est de l’école d’Ortega : c’est dire qu’une visio

22 ches nucléaires, d’enseignement européen dans les universités , d’éducation scolaire et populaire ; festivals, guildes du livre, et

23 00 instituts techniques existant en URSS (pour 33 universités seulement). L’éducation technique se divise en cinq branches principa

24 est issu d’une conférence prononcée à l’aula de l’ Université de Genève, le 9 mai 1960, dans la chaire de M. Robert Dottrens, profe

25 lus proches parents, il compte neuf professeurs d’ université et l’un des premiers prix Nobel. Enfance heureuse et sans histoire, a

26 sinologie, d’études arabes, etc. dans nos grandes universités , mais on aurait peine à trouver des chaires d’européisme en Inde ou e

27 , les étudiants d’outre-mer qui viennent dans nos universités ont grand-peine à se faire une idée de la culture européenne dans son

28 . Ces instituts sont presque tous rattachés à une université , et répartissent leurs activités en recherches, enseignement, publica

29 fin, de très nombreux colloques organisés par des universités , collèges, associations professionnelles, estudiantines, syndicales,

30 hiers détaillés sur les institutions culturelles, universités , associations, fondations, maisons d’édition, revues, etc. de tous le

31 à la plupart des thèses soutenues dans toutes nos universités et qui traitent d’un problème européen. Vers une Semaine européenne

32 e tenait d’abord à sa composition : professeurs d’ université , compositeurs de musique, écrivains et critiques s’y trouvaient pour

33 s ? Vous avez un festival, des revues, une grande université , un essor économique très puissant auquel on a souvent fait allusion

34 Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)cy cz L

35 i bientôt ne se comprendront plus, je veux dire l’ Université et ses diverses facultés, et les subdivisions de ces facultés, et tou

36 le et plus facile à observer, hélas, que dans nos universités . Tout le monde sait ici de quoi je veux parler : nous assistons en fa

37 n des études. Ainsi les dimensions physiques et l’ Université tendent à devenir impraticables, cependant que les distances intellec

38 dire aussi, très concrètement, qu’il n’y a plus d’ Université , aux deux sens primitifs de l’universitas, qui sont le sens corporati

39 ire, et le sens synthétique ou universaliste. Nos universités ne sont plus guère, en fait, que des agglomérats ou juxtapositions so

40 osition de facultés étanches ne fait pas plus une université qu’une addition d’organes ne fait un corps vivant. Regardons cela d’u

41 totale, jadis but et module de tout l’effort de l’ Université au plein sens de son nom (Univers, universitas, selon l’étymologie ch

42 ngages, dissous en terminologies incomparables. L’ université , que l’on pourrait considérer comme un grand appareil distributeur d’

43 our quelles fins ils l’avaient entreprise. Mais l’ Université , dans nos pays, paraît plus florissante que jamais : loin d’être aban

44 idéale, correspond aujourd’hui l’entreprise de l’ Université occidentale ? Quel type d’homme a-t-elle en vue, veut-elle former ? J

45 de le déduire d’une observation attentive de nos universités , l’on ne trouve qu’une sorte de monstre, assemblage de pièces et de m

46 que ces questions débordent le seul domaine de l’ Université , et qu’elles affectent tout l’ensemble de la culture européenne. Mais

47 semble de la culture européenne. Mais c’est par l’ Université que les hommes d’outre-mer viennent au contact de la culture européen

48 l’époque justement qui a vu naître les premières universités européennes, en Italie puis à Paris. (Quant à savoir dans quelle mesu

49 ant à savoir dans quelle mesure l’apparition de l’ Université est liée à ce phénomène, soit qu’elle l’exprime, soit qu’elle réagiss

50 dans la diversité n’est pas seulement celui de l’ Université , mais celui de notre politique d’intégration européenne, dans sa form

51 dans le cadre qui nous intéresse ici, celui de l’ Université  ? Trois solutions me paraissent concevables. a) La première, souvent

52 n’en reste pas moins que la spécialisation dans l’ Université ne peut aller qu’en croissant, sous la double pression que j’ai dite 

53 u’exige l’état présent de notre culture et de nos universités devrait d’abord être confiée à des groupes de chercheurs représentant

54 semble que le seul moyen de sauver la qualité des universités existantes et leur efficacité pédagogique, menacées l’une et l’autre

55 sements d’enseignement supérieur. D’une part, les universités existantes seraient progressivement libérées de leur engorgement, d’a

56 leur engorgement, d’autre part les dimensions des universités nouvelles pourraient librement s’accorder aux optima que votre Confér

57 a conduit à préférer la multiplication de petites universités à la multiplication des facultés, des chaires et des postes d’assista

58 es postes d’assistants dans les déjà trop grandes universités . L’adjectif petit me paraît intimement lié, en Europe, non seulement

59 pouvoir créateur d’un milieu donné, cité, pays ou université . Ce n’est pas du tout par hasard que dans le tableau qu’a établi le s

60 ns les petits pays, tout est petit, y compris les universités . Mais sur le problème de l’explosion du savoir, dont je vous ai plus

61 qui n’ait été d’abord rêvé. La multiplication des universités , maintenues dans les petites dimensions qu’exige leur rendement optim

62 éologie. Il existe dans la plupart de nos grandes universités des départements d’indianisme, de sinologie, d’islamologie, d’études

63 relations entre un tel centre de synthèse et les universités existantes, on les imaginera sans peine. L’introduction si désirable

64 date du traité de Rome instituant l’Euratom : une Université européenne. Vraie université, puisqu’elle traiterait spécifiquement d

65 uant l’Euratom : une Université européenne. Vraie université , puisqu’elle traiterait spécifiquement du général, en vue d’entreteni

66 Seuil, 1963, p. 130. cy. Rougemont Denis de, «  Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui », Bulletin du Centre eur

67 te des recteurs et vice-chanceliers d’Europe, à l’ Université de Göttingen, le 2 septembre 1964. da. Selon une erreur manifeste, l

68 Je reviendrai sur la révolution que préparent ses universités et deux de ses partis de gauche et de droite, le centre étant acquis

69 à, de réveil agressif ; les réalités culturelles, universités , centres de formation des cadres, laboratoires, architecture, lettres

70 problème donné (urbanisme, participation civique, université , par exemple), il nous faut apprendre : 1° à déterminer les éléments

71 tent, ou sont souhaitables, entre l’économie et l’ université , ou entre les formules de participation civique et l’urbanisme : il s

72 ux. Au Moyen Âge, ces foyers de création sont les universités , à la Renaissance les cités et les très petits États du Nord de l’Ita

73 tend à grouper dans une coopération régionale les universités de Neuchâtel, Fribourg, Lausanne (I et II), Genève, Aoste (en cours d

74 ntation d’un problème culturel européen comme les universités , ou la presse et les media ; — un numéro où une équipe internationale

75 quelques-uns, et qui a subitement éclaté dans les universités de tout l’Occident et dans les rues de toutes nos grandes villes au m

76 ilosophes ? Pourquoi des professeurs ? Pourquoi l’ Université  ? Ou au contraire, c’est que l’objet est encore trop jeune, et qu’il

77 oncerne la fonction de l’enseignement : celui des universités de Suisse romande et de Rhône-Alpes. On sait que la collaboration int

78 tre les cantons romands, est plus que ténue entre universités suisses et françaises. Les professeurs français peuvent être nommés e

79 bérale (effectus civilis) pour les diplômés d’une université « étrangère », il est quasi nul. Pourtant, l’extraordinaire densité d

80 devant plusieurs recteurs suisses et présidents d’ université français, se trouve coïncider très exactement, comme le fit observer

81 ction immédiate. 125. La création à Aoste d’une université régionale a été votée par le parlement italien en 1972. dp. Rougemo