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insi que le problème du langage commun. Après une
vive
discussion, le titre suivant, proposé par M. Markevitch, est retenu :
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ntels. Je pense même qu’ils remontent aux sources
vives
de notre civilisation, et qu’ils en sont inséparables. Je les rattach
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ore le Russe cultivé n’avait montré un intérêt si
vif
pour l’ensemble de la pensée, des lettres et des arts de l’Occident,
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es et au-delà des périodes scolaires. Là, dans le
vif
d’une situation locale ou régionale que l’on peut arriver à connaître
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reçues témoignent, à eux seuls, de l’intérêt très
vif
porté aux festivals, dans les milieux musicaux : en effet, sur 80 que
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erre, de rallier à la cause européenne les forces
vives
de la culture, et cela non point par des appels à quelque engagement
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nissable, appuyé sur une canne, l’œil étrangement
vif
et résolu derrière un lorgnon démodé, et qui me dit avec un accent sl
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lui-même en Pologne occupée, pour y expliquer de
vive
voix la politique suivie par le gouvernement en exil, et pour se fami
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buer à l’union de l’Europe en ralliant les forces
vives
de la culture dans tous nos peuples, et en leur offrant : un lieu de
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les. Le secrétariat de la Campagne exprime ici sa
vive
gratitude à toutes les personnalités — du ministre au maire ou bourgm
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qui viennent chez nous en pèlerinage aux sources
vives
de la nouvelle culture mondiale. Or, qu’il n’y ait plus, ou presque p
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rise y est si aiguë, la conscience de la crise si
vive
et l’oppression quasi coloniale de la région si ancienne que Saint-Br