1 n actes, — voilà des objectifs concrets. Ils sont vitaux . Car si l’Europe et l’Amérique n’arrivent pas à s’entendre effectivem

2 ionaux et locaux, où s’opère justement ce contact vital entre la culture générale et les réalités concrètes d’un coin de l’Eu

3 isamment la conscience des Pouvoirs quant au rôle vital et concret de la culture dans la construction de l’Europe. Pourquoi c

4 faite, l’union de l’Europe n’en serait pas moins vitale ni moins urgente, pour les trois grandes raisons qu’on vient de rappe

5 ent. Le préambule et l’idée directrice sont seuls vitaux , et non les paragraphes. Entraîner l’opinion par les premiers permett

6 ar une absurde conjoncture veut que les décisions vitales du pays dont dépend toute l’union de l’Europe, se trouvent dépendre e

7 sacrée des libertés occidentales. Un tel sursaut vital est-il inconcevable ? Retournons la question : est-il concevable que

8 énéral ? Et pourquoi le besoin de chercher est-il vital pour les Européens ? À la première question, portant sur la recherche

9 esprit européen reste la condition primordiale et vitale de l’union institutionnelle Les Amis du Centre Comment élargir

10 s, les échanges ne sont qu’une forme naturelle et vitale d’exercice de l’intelligence dans la liberté et la cordialité. Notre

11 inérantes La visite d’un laboratoire peut être vitale pour un savant, mais vaguement pittoresque pour un homme sans culture

12 les citoyens d’Europe, sous la forme d’un dilemme vital  : s’unir immédiatement, ou périr en ordre dispersé. Quant à la méthod

13 lités réunies autour d’eux à Bruxelles : la tâche vitale à laquelle ils ont promis leur appui réclame en effet la collaboratio

14 maintenant de mieux définir le problème urgent et vital d’une éducation pour l’Europe. Nous entendons par là : une éducation

15 occupe d’informer les Européens sur les problèmes vitaux de leur avenir immédiat, sur les résultats des recherches qui manifes

16 rces. La solidarité des nations est une nécessité vitale , dans cette seconde moitié du xxe siècle. 4. Premières réalisatio

17 oir qu’elle n’est pas un luxe, mais une nécessité vitale pour tous nos peuples. En effet, leur niveau de vie et leur statut so

18 de la culture, question qui touche un des points vitaux , je crois, des préoccupations de ce colloque. La question était la su

19 les d’un point de vue humaniste, mais qu’ils sont vitaux pour la technique et par suite pour l’industrie elle-même. Pas de bon

20 avantage, je voulais simplement souligner le lien vital entre l’évolution culturelle et l’évolution économique. Notons que ce

21 ont réellement conscients de leur interdépendance vitale , de ce qu’ils doivent attendre les uns et les autres et de ce qu’ils

22 et que le problème que nous allons aborder est si vital , si central, et disons-le, si formidable, au sens étymologique du mot

23 mpte des « nécessités », c’est-à-dire des besoins vitaux et des vraies fins de l’homme dans la cité. Pour les politiciens, la

24 ée, de régime « en contradiction avec les besoins vitaux  » du monde actuel, qui est donc condamné à terme, et qui doit être re

25 cture des systèmes techniques qu’avec les besoins vitaux de notre monde. Il s’accorde mal avec les principes de l’économie, co

26 est-à-dire les échanges commerciaux et agricoles ( vitaux mais qui peuvent être interrompus d’une heure à l’autre par décret de