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tres des usines. Des fumées traînent, les ponts s’
éteignent
, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des
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ais étroit, je vois des couples et des solitaires
éteindre
et rallumer leurs lampes. Une blonde platinée, en peignoir rose, ouvr
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radios nostalgiques, des fenêtres s’allument et s’
éteignent
. On peut vivre ici comme ailleurs, mais dans un cadre strictement rec
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oignements qu’un peu de vent déplace, illumine ou
éteint
, voilà qui satisfait comme nul autre paysage ce goût profond de compo
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el. Sommets d’où l’on voit l’Italie… Et le rêve s’
éteint
, guirlande morte, un peu de temps diaphane à l’horizon. Paysage empha