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on objective, qui est devenue tellement étrangère
aux
romantiques, aux partisans, aux « enfermés » que nous sommes tous plu
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est devenue tellement étrangère aux romantiques,
aux
partisans, aux « enfermés » que nous sommes tous plus ou moins. Peu à
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llement étrangère aux romantiques, aux partisans,
aux
« enfermés » que nous sommes tous plus ou moins. Peu à peu, les feuil
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je voudrais faire toucher. J’ai tenté d’échapper
aux
villes inhumaines. Et j’ai trouvé que la province ne vaut guère mieux
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— « C’est une entreprise hardie que d’aller dire
aux
hommes qu’ils sont peu de chose », s’écrie Bossuet (Sermon sur la mor
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us alors du sort fait à celui qui doit se montrer
aux
hommes tel qu’il est ? S’entendre dire que l’homme en général est peu
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as encore franchement s’avouer que de se comparer
aux
seuls humains que le métier ou notre rang social nous met en mesure d
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ttache un peu longuement à un visage, au corps et
aux
vêtements, aux mains, à l’attitude distraite et vraie d’un être isolé
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onguement à un visage, au corps et aux vêtements,
aux
mains, à l’attitude distraite et vraie d’un être isolé près de moi. J
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Faire la révolution ! » — Ce substitut, ce renvoi
aux
calendes de la Grande Communication… ⁂ Montparnasse. — Stupidité tri
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ire le lecteur « dans un monde où l’on pardonnera
aux
poules d’avoir des mœurs un peu bizarres, parce que les hommes en aur
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ateur bordelais que c’est lui qui ne connaît rien
aux
mœurs des poules ! Que nous n’avons pas besoin d’un coq pour pondre u
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Ramuz, Halévy, Duhamel. Tout cela ne compte guère
aux
yeux d’une poule. Ce qui compte, c’est l’énorme étude de neuf colonne
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qu’il s’en prenait en vérité à la petite épargne,
aux
petits rentiers ! C’est ce que personne n’avait su deviner, avant Mme
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3. Me permettra-t-on d’ajouter ma petite remarque
aux
déclarations judicieuses de ma poule noire ? Ce ne sont pas seulement
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pas vous dire où cela se trouve sans contrevenir
aux
ordres les plus stricts, mais c’est très bien ainsi, Denis de Rougemo
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ée… Confort paysan, seul authentique en nos pays.
Aux
parois, des versets bibliques, lettres d’argent et myosotis, autour d
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ie du Chœur mixte en 1913. Deux bons lits de bois
aux
« duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplaire, courroie
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de gare de cette Europe qui ne sait plus répondre
aux
menaces que par l’extinction des lumières, — de toutes les lumières h
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mbre 1946)i Grands plateaux onduleux et livrés
aux
chevaux, jusqu’à l’horizon bleu des Appalaches. Pendant que nous roul
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en ai jamais vu d’aussi grands, ils montent jusqu’
aux
fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte don
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. Le lustre enfin s’allume par degrés. Elle court
aux
fenêtres et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair,
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r les klaxons d’interminables embarras de trafic.
Aux
vitrines triomphait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le ros
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Guardia à la radio, révélant une dernière recette
aux
ménagères pour cuire la dinde. Politicien rusé autant qu’honnête, gro
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prêtres se préparent à parler du message de Noël
aux
« hommes de bonne volonté », répétant sans scrupules avec M. Romains
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méfiance et de la peur réciproques qui président
aux
rapports des nations, et de l’antisémitisme, et de l’antisoviétisme,
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re les escaliers de quatre marches qui conduisent
aux
portes d’entrée. Portes étroites, ouvrant sur des couloirs hauts et p
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s Accusations et les Calomnies. On ne peut donner
aux
gardiens de la liberté d’un État un droit plus utile et plus nécessai
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il veut sa paix, et me laisse le soin de répondre
aux
téléphones. OK ! disent les Américains. Pendant qu’il administre, amu
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Lacs (août 1948)n o Combien j’aimai ce lac
aux
rives glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles
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rs clos, si grands soient les miroirs qu’il offre
aux
ciels changeants, et si profonds ses lointains de lumière. La pente d
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evant la proue de l’Isola Bella, vaisseau de rêve
aux
nombreux ponts chargés de dieux, passagers immobiles, un bras levé… J
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. Et nous montons à ce balcon sur l’eau, accroché
aux
très hautes murailles qui sans raison, grandiloquentes, bordent la ri
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ient des voiles inclinées… Balaton, lac de plaine
aux
eaux fades, environné de collines pointues et de valses aux jardins p
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ades, environné de collines pointues et de valses
aux
jardins publics — là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps c
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e investit du charme des eaux l’adolescence même,
aux
chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un lac n’est jamais sans douce
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ndu. (Quand on revient la voir à deux, plus tard,
aux
mêmes lieux, elle se réserve… Elle ne sera plus jamais tout à fait co