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: j’ai perdu mon « métier quelconque », et c’est
cela
justement qui m’a permis de partager, pendant deux ans, « la vie ordi
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on abandonnée qu’on nous prêtait. Il y en a comme
cela
des centaines, des milliers, dans toutes les provinces de la France.
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touche la vie, le grain de l’existence. Et c’est
cela
que je voudrais faire toucher. J’ai tenté d’échapper aux villes inhum
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plus naturelles et de plus droites ». Voyez-vous
cela
: « des mœurs bizarres » ! Quel toupet ! Et le plus révoltant de l’af
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vons pas besoin d’un coq pour pondre un œuf quand
cela
nous chante3 ; que nous ne couvons jamais nos propres œufs dans ce bo
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curs, comme Mauriac, Ramuz, Halévy, Duhamel. Tout
cela
ne compte guère aux yeux d’une poule. Ce qui compte, c’est l’énorme é
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ourrier de la Guilde… Je ne puis pas vous dire où
cela
se trouve sans contrevenir aux ordres les plus stricts, mais c’est tr
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nvie de boire et de se coucher. Eh bien ! de tout
cela
se dégage un lyrisme. De cela précisément qui n’a pas de nom, qui n’a
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. Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De
cela
précisément qui n’a pas de nom, qui n’a rien de spectaculaire, qui n’
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, un « à terre » prolongé à la lisière d’un bois,
cela
peut être un des plus beaux moments de notre furtive existence. Surto
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et certains cauchemars, soient vécus ; j’ai connu
cela
trois jours plus tard, dans une grande gare de cette Europe qui ne sa
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s courbes douces et nettes. Nul disparate en tout
cela
: voilà le miracle hollandais. Je ne crois pas que la lumière fauve e
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t moyen, se dira : « Well, c’était donc pour tout
cela
… » j. Rougemont Denis de, « Noël à New York », Bulletin de la Guil
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« mettre en danger la sécurité de mon pays », et
cela
par mon activité antinazie, tandis que, d’après Aragon, j’aurais pass
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sous silence » le nazisme et l’antisémitisme, et
cela
pour publier mes livres sous Vichy, c’est-à-dire du côté d’Oltramare.
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nte du pays sous le ciel orageux. Oui, c’est bien
cela
qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la brûlure douce au cœur, le san