1
sans avoir pu les choisir à son goût. J’ai traité
ces
deux grandes questions de la culture et de la communauté dans un ouvr
2
ssi la nature, l’océan et les landes désertes, et
ces
olivettes moirant les dernières pentes des Cévennes. Il y a aussi de
3
es dernières pentes des Cévennes. Il y a aussi de
ces
rencontres qui soudain vous rendraient — est-ce trop dire ? — une sor
4
ocial — selon les préjugés du régime établi — que
ces
rencontres deviennent possibles, se multiplient : se « déclasser », c
5
iolemment au bas de l’énorme nuit. On ne voit que
ces
figures géométriques, dominées par le clocher à toit plat, et des fra
6
e écho des pas, si proche dans les rues vides, et
ces
mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée de l’ombre de
7
aginer une rencontre, un échange spontané, une de
ces
découvertes frémissantes telles que j’en ai sans doute vécues, adoles
8
aussi ! Mais, chômeurs ou non, — j’y reviendrai —
ces
intellectuels sont sans pitié et par surcroît ne sont pas bien malins
9
urageusement à mon auteur, elle l’apostrophe dans
ces
termes : Il y a d’autres choses bien instructives — (« instructives
10
avant Mme Malécot. « Mais vous ne les aurez pas,
ces
petits rentiers ! » clame-t-elle. Et pour le coup, je m’y reconnais :
11
Journal d’un intellectuel en chômage nous remet
ces
pages qu’il prétend avoir été écrites (ou, comme on dit, pondues) par
12
nt, plongés d’un coup dans le détail technique de
ces
grandes choses terribles qu’on imaginait, qu’on redoutait, qu’on croy
13
social contre le mystérieux Esprit de subversion.
Ces
dames sont en retard d’au moins deux guerres ou victimes d’expression
14
ns passé, sans avenir. Tout le présent limité par
ces
herbes où circulent des bestioles maladroites. Le drap du pantalon co
15
chambre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours
ces
conférences que j’allais faire, absurdement, dans un pays qui n’exist
16
e grand secret de ce pays, ce qu’il faut lire sur
ces
façades à la fois patinées et toujours neuves, c’est la continuité d’
17
t le xxe siècle. Mais nous reparlerons de toutes
ces
choses. Et de la Suisse, telle qu’on la voit de loin, dans sa vérité
18
hitecture de notre Palais fédéral — où je termine
ces
notes de voyage — me décourage un peu, ce soir. On dirait une école p
19
s dépourvues d’ornements. Beekman Place est un de
ces
lieux où l’exilé s’écrie : « Mais c’est l’Europe ! » parce qu’il y tr
20
e nature — car l’eau même est canalisée — ce sont
ces
trois îlots de granit noir couverts de mouettes et signalés par deux
21
t les milliardaires et les acteurs. Et tout près,
ces
jardins suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. E
22
u portique, entre les hautes colonnes blanches et
ces
ifs dramatiques, on domine un paysage de pluies lointaines et de prai
23
e chercher des verres et des bouteilles. Qui sont
ces
gens ? Elle dit : « Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans la
24
ants, verts, rouges, argent et mordorés. Pourquoi
ces
échanges éperdus ? Est-ce en souvenir du seul cadeau de paix jamais f
25
due par la silhouette des escaliers de sauvetage.
Ces
grands seaux à ordures en métal, rarement ou mal vidés dans ce quarti
26
commis un délit contre cette liberté… Mais autant
ces
accusations sont utiles dans une république, autant les calomnies son
27
ssimiler sa situation à celle de son client. « Si
ces
deux hommes ont pris ensuite des chemins opposés, le départ est le mê
28
res sous Vichy, c’est-à-dire du côté d’Oltramare.
Ces
deux griefs s’accordant mal, qui devons-nous croire ? Remarquez que M
29
urnaux. Mais voici ce matin sur mon bureau une de
ces
lettres-éclair de notre directeur : « Les journalistes, dit-il, m’acc
30
trent entre les roseaux. L’Immoraliste. Près de
ces
eaux, ma vie sentimentale est née. Et depuis lors elle est restée lac
31
re mes lacs et ne puis retrouver que du bonheur à
ces
souvenirs. Non qu’ils me parlent tous de jours heureux, mais la mémoi
32
veiller, luisant et neuf, de la première nuit… Et
ces
deux grands étés américains, dans les demeures trop vastes du Lake Ge
33
d’un bois de pins. Que vient-il donc chercher sur
ces
rivages désertés par le crépuscule ? Quelle est cette hâte inconnue,