1
age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des
chiens
surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tournent autour d
2
pas, si proche dans les rues vides, et ces mêmes
chiens
qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée de l’ombre de la mort… étr
3
ttant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs
chiens
sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux
4
heval. Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des
chiens
imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
5
re partout. Çà et là, des statues de faunes et de
chiens
gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et
6
elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les
chiens
du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’approche
7
le tunnel de la charmille, tandis qu’une meute de
chiens
de toutes les tailles s’élance sur ses traces en aboyant. Au fond d’u
8
du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des
chiens
se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sa