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dois, après la grêle, qui désignait d’un doigt le
ciel
coupable : « Je n’accuse personne, mais c’est dégoûtant ! ») Nous voi
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sur une route de campagne, au creux des haies, le
ciel
se couvre. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On n
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velours rouge sont moisis. Nous redescendons. Le
ciel
est devenu noir. Du portique, entre les hautes colonnes blanches et c
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ations. Déjà l’on met en vente la « bicyclette du
ciel
», un petit avion de 1000 dollars. Déjà les banques de Buffalo ouvren
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e scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le
ciel
rouge. Une radio clame Amapola, plus fort que tout, dans la cour où l
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los, si grands soient les miroirs qu’il offre aux
ciels
changeants, et si profonds ses lointains de lumière. La pente derrièr
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où se déployer sans se perdre, la méditation des
ciels
bas, la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où
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appée vers la plaine, où l’eau rejoint presque le
ciel
, le petit phare de la baie de Sirmione… Sur les lacs sinueux de la Pr
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eine incandescence les Alpes déployées au fond du
ciel
. Sommets d’où l’on voit l’Italie… Et le rêve s’éteint, guirlande mort
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rodiges sévères, et l’œil ne s’en évade au bas du
ciel
— vers l’ouest — que par cet or lointain que l’eau n’a point doublé,
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ive est solennel, comme l’attente du pays sous le
ciel
orageux. Oui, c’est bien cela qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la
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ont cédé ! Le lac était d’un bleu très sombre, le
ciel
bas, des éclairs de chaleur palpitaient dans la nue, et le jeune homm