1 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
1 dois, après la grêle, qui désignait d’un doigt le ciel coupable : « Je n’accuse personne, mais c’est dégoûtant ! ») Nous voi
2 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
2 sur une route de campagne, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut, me dit-on, à mi-pente des coteaux. » On n
3 velours rouge sont moisis. Nous redescendons. Le ciel est devenu noir. Du portique, entre les hautes colonnes blanches et c
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
4 ations. Déjà l’on met en vente la « bicyclette du ciel  », un petit avion de 1000 dollars. Déjà les banques de Buffalo ouvren
4 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
5 e scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une radio clame Amapola, plus fort que tout, dans la cour où l
5 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
6 los, si grands soient les miroirs qu’il offre aux ciels changeants, et si profonds ses lointains de lumière. La pente derrièr
7 où se déployer sans se perdre, la méditation des ciels bas, la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où
8 appée vers la plaine, où l’eau rejoint presque le ciel , le petit phare de la baie de Sirmione… Sur les lacs sinueux de la Pr
9 eine incandescence les Alpes déployées au fond du ciel . Sommets d’où l’on voit l’Italie… Et le rêve s’éteint, guirlande mort
10 rodiges sévères, et l’œil ne s’en évade au bas du ciel — vers l’ouest — que par cet or lointain que l’eau n’a point doublé,
11 ive est solennel, comme l’attente du pays sous le ciel orageux. Oui, c’est bien cela qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la
12 ont cédé ! Le lac était d’un bleu très sombre, le ciel bas, des éclairs de chaleur palpitaient dans la nue, et le jeune homm