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prononcée par Me Duperrier lors du procès de son
client
Georges Oltramare. Ainsi dans la Gazette de Lausanne : Un rapproch
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ors fondé à assimiler sa situation à celle de son
client
. « Si ces deux hommes ont pris ensuite des chemins opposés, le départ
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fait ensuite un parallèle entre l’attitude de son
client
et celle de l’écrivain Denis de Rougemont qui, constate le défenseur
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t avec cet avocat que j’ai vraiment agi comme son
client
, l’alternative est la suivante : ou bien je suis coupable, mais alors