1 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
1 prononcée par Me Duperrier lors du procès de son client Georges Oltramare. Ainsi dans la Gazette de Lausanne  : Un rapproch
2 ors fondé à assimiler sa situation à celle de son client . « Si ces deux hommes ont pris ensuite des chemins opposés, le départ
3 fait ensuite un parallèle entre l’attitude de son client et celle de l’écrivain Denis de Rougemont qui, constate le défenseur
4 t avec cet avocat que j’ai vraiment agi comme son client , l’alternative est la suivante : ou bien je suis coupable, mais alors