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ouce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une
colline
, nous voyons deux chevaux au galop. Ils disparaissent dans un vallonn
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de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des
collines
, sont le cadre qui donne au tableau sa signification privilégiée. Ici
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tre fou.) Cyprès au pied des Alpes, tendresse des
collines
et brusque sauvagerie des hautes pentes, échevelées de châtaigniers.
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laton, lac de plaine aux eaux fades, environné de
collines
pointues et de valses aux jardins publics — là j’étais seul… Rade de
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’autre rive. Elle caresse en passant l’épaule des
collines
, elle monte, elle embrase longtemps d’une sereine incandescence les A