1 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
1 ’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en demi-cercle, ornées d’u
2 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
2 rtes, suivies d’une autre pièce plus large sur la cour . Ce logis, qui n’est guère qu’un corridor légèrement cloisonné, s’ann
3 truits sur ce même type : deux pièces claires sur cour et sur rue, reliées par deux ou trois alvéoles aveugles. Tout l’East
4 ètres. Je me penche à la fenêtre, au-dessus de la cour . Le sol est jonché de plâtras, de journaux, de chiffons qui bougent,
5 radio clame Amapola, plus fort que tout, dans la cour où les draps au vent font de grands gestes frénétiques. New York poss
3 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
6 rrespondant attitré de notre journal, il lit à la cour l’admirable morceau que de Rougemont a dédié à Paris envahi par les A
7 onds Voici le raisonnement qu’a tenu devant la cour le bouillant Me Duperrier : — Rougemont s’est mis au service d’une pr