1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 iels. Et toutes les joies qui n’ont pas de nom et dont personne ne songerait à parler, contemplation de la terre, ou d’une b
2 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
2 s. La nuit des villes n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne sais quelle invisible et brusque vie tout près
3 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
3 est une poule noire, triste et digne nous dit-on, dont nous faisons connaissance page 92. L’auteur habite avec sa femme une
4 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
4 ral. La pluie civile n’est guère qu’un embêtement dont on se préserve comme sans y penser. On ouvre un parapluie, on enfile
5 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
5 rends, que dis-je : je vois l’opposition tragique dont cette guerre est sortie, et qui est celle des deux grandes conception
6 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
6 ace (octobre 1946)g h Parallèle à l’East-River dont la sépare une rangée d’hôtels particuliers à cinq étages, cette rue t
7 ts de mouettes et signalés par deux petits phares dont clignotent irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de révolution
7 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
8 ième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens sortent
8 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
9 lac aux rives glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un marécage, longtemps se mêlent à la terre,
10 ers le lac qu’on aperçoit entre les peupliers, et dont les longues vagues limoneuses accablent sans relâche les roseaux de l