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perd peu à peu dans la campagne, par des courbes
douces
et nettes. Nul disparate en tout cela : voilà le miracle hollandais.
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e rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà
doux
des terrasses, moments les plus aigus de la vie, au jour qui point, q
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s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente
douce
. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline, nous voyons deu
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a qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la brûlure
douce
au cœur, le sang plus vite, le soulèvement plus ample de la respirati