1 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
1 e grenat des façades de briques renversées dans l’ eau jaune des canaux suffisent à expliquer cette harmonie solide, luxueus
2 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
2 qu’à Brooklyn. Un paysage immense de minéral et d’ eau . La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’
3 en plein jour. Le seul vestige de nature — car l’ eau même est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts
3 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
4 nné, s’annonce dans les journaux : « cinq pièces, eau chaude et bains ». Il existe dans Manhattan des centaines de milliers
4 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
5 ives glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux , comme celles d’un marécage, longtemps se mêlent à la terre, et filtr
6 t entre les roseaux. L’Immoraliste. Près de ces eaux , ma vie sentimentale est née. Et depuis lors elle est restée lacustre
7 epuis lors elle est restée lacustre. « Odeur de l’ eau pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube , et vingt ans ne
8 lus amers ou des plus seuls a gardé le charme des eaux . Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jamais sans
9 il aime à s’y retrouver. Je nage à Baveno dans l’ eau tiède et dorée, c’est la fin de l’après-midi, devant la proue de l’Is
10 er la sérénade. Et nous montons à ce balcon sur l’ eau , accroché aux très hautes murailles qui sans raison, grandiloquentes,
11 moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’ eau rejoint presque le ciel, le petit phare de la baie de Sirmione… Sur l
12 des voiles inclinées… Balaton, lac de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses aux jardins public
13 t transparent des montagnes, le scintillement des eaux sous la brume légère, tout était si pur et si frais qu’il semblait qu
14 Saint Sacrement « pour la pureté lustrale de ses eaux  »… Il me rappelait un peu de tous mes autres lacs, mais il était surt
15 lacs, et la mémoire encore investit du charme des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un lac
16 suis sur la jetée, près du hangar des trams, et l’ eau n’est pas plus noire que mon cœur humilié. Dans ce « local » empuanti
17 ine prochaine, l’épreuve recommencera. Odeur de l’ eau qui dort, pénétrante, amicale. Un poisson saute et ride un moment le
18 el — vers l’ouest — que par cet or lointain que l’ eau n’a point doublé, déjà prise de nuit, rêvant jusqu’à mes pieds. Par u