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xième un lourd sommier, pour en faire un divan. L’
escalier
est étroit. La descente s’était opérée sans trop de mal, lors de notr
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l’évidence : ce sommier implacable restera dans l’
escalier
comme témoin des bouleversements que nous avons infligés à la maison.
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e la rue, légèrement mordue par la silhouette des
escaliers
de sauvetage. Ces grands seaux à ordures en métal, rarement ou mal vi
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ans ce quartier, débordent sur la neige entre les
escaliers
de quatre marches qui conduisent aux portes d’entrée. Portes étroites
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ous sommes dans le quartier slovaque. Je gravis l’
escalier
jusqu’au troisième. La porte donne dans la cuisine. En face du fourne
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en bas des façades de brique zigzaguent les noirs
escaliers
de sauvetage. Dans un sous-sol violemment éclairé, je vois quelques C
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gestes menus. Le concierge irlandais hurle dans l’
escalier
. Des enfants pleurent parmi les radios nostalgiques, des fenêtres s’a