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de la 51e rue, en brique vernie, tous luisants de
fenêtres
dépourvues d’ornements. Beekman Place est un de ces lieux où l’exilé
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res, de roses, d’argents et d’éclats d’or sur les
fenêtres
des usines. Des fumées traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des
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i jamais vu d’aussi grands, ils montent jusqu’aux
fenêtres
du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un batt
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lustre enfin s’allume par degrés. Elle court aux
fenêtres
et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle
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re côté de la cuisine, deux petites chambres sans
fenêtres
ni portes, suivies d’une autre pièce plus large sur la cour. Ce logis
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ur une vingtaine de kilomètres. Je me penche à la
fenêtre
, au-dessus de la cour. Le sol est jonché de plâtras, de journaux, de
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fants pleurent parmi les radios nostalgiques, des
fenêtres
s’allument et s’éteignent. On peut vivre ici comme ailleurs, mais dan