1
lleurs sous une forme plus générale. Il ne s’agit
ici
que de la vie « commune », au double sens de ce mot ; il s’agit du ré
2
nt. Partout les jeunes vous disent : « C’est mort
ici
! » Phrase si courante qu’on a cessé de sentir le drame immense qu’el
3
e à la fièvre. Plus lucide souvent que les jours.
Ici
, tout repose complètement. Un silence implacable et mat enserre l’hom
4
au milieu de la nuit ? Ou passerons-nous l’hiver
ici
? Plus rien ne dépend de nous. C’est notre liberté. Pendant que Mermo
5
nt les décors d’une grandiose activité marchande.
Ici
, les sirènes annoncent l’approche des richesses de la terre. ⁂ Une co
6
ais perdu la mesure de l’humain. Point de coupure
ici
, point de Révolution, point de scission de l’Histoire et de la nation
7
iment de ferme. C’est le chenil. Le parc s’arrête
ici
, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente douce. Très loin
8
niverselle, bercé de musiques nostalgiques. Noël,
ici
, devient la fête du Bébé Cadum des réclames et non plus de cet Enfant
9
fenêtres s’allument et s’éteignent. On peut vivre
ici
comme ailleurs, mais dans un cadre strictement rectangulaire. Tous le
10
cureur général, s’écrie Me Duperrier, de me faire
ici
le dénonciateur de Denis de Rougemont. et dans la Feuille d’Avis de
11
ui donne au tableau sa signification privilégiée.
Ici
le cœur et l’âme ont leur théâtre pur, où tout est sens, écho, dialog
12
pur, où tout est sens, écho, dialogue à l’infini.
Ici
la joie trouve un espace où se déployer sans se perdre, la méditation