1
e n’était pas du tout ce qu’on nomme un « journal
intime
». Je n’y parlais pas de mes sentiments, mais de mon entourage et des
2
xquels ce satané Journal livrait ma vie la plus
intime
! Vous allez pouvoir en juger. Dans un grand quotidien de Bordeaux, i
3
che des richesses de la terre. ⁂ Une connaissance
intime
et personnelle de ce que l’on appellera l’âme hollandaise, je doute q