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Introduction au
Journal
d’un intellectuel en chômage (août 1937)a Tolstoï disait, vers la
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urtant ce n’était pas du tout ce qu’on nomme un «
journal
intime ». Je n’y parlais pas de mes sentiments, mais de mon entourage
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ient en somme peu connues : ni les romans, ni les
journaux
, ni les théories politiques ne m’en avaient donné la moindre idée exa
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illes. ⁂ Là où l’on a coutume de placer dans un «
journal
» des effusions lyriques, des analyses du moi, j’ai cru qu’il serait
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eu ». a. Rougemont Denis de, « Introduction au
Journal
d’un intellectuel en chômage », Bulletin de la Guilde du livre, Laus
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Pages inédites du
Journal
d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)b Note pour une préfac
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mme descend sans se retourner ; l’homme déplie un
journal
que je n’aime pas, qu’il a peut-être acheté tout par hasard, comme il
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scriptum. — En même temps que les épreuves de mon
journal
, je reçois une note à l’encre rouge, signée du correcteur de l’imprim
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vre. b. Rougemont Denis de, « Pages inédites du
Journal
d’un intellectuel en chômage », Bulletin de la Guilde du livre, Laus
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es feuilletonistes indiscrets auxquels ce satané
Journal
livrait ma vie la plus intime ! Vous allez pouvoir en juger. Dans un
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à fait déplacés à mon avis) de M. de Rougemont,
Journal
d’un intellectuel en chômage , il y a une poule. C’est une poule noir
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zaines d’articles pleins d’éloges pour ce maudit
Journal
. Il est vrai qu’ils étaient signés de noms que je crois fort obscurs
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de la Romorantine. M. Porché estime que dans le
Journal
« tout est faux-semblant, illusion… » et « demeure en dehors des con
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est vrai qu’on la dit Lausannoise, mais enfin le
journal
Curieux a présenté sa lettre comme celle d’une Française offensée, et
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. d. Précédé du chapeau suivant : « L’auteur du
Journal
d’un intellectuel en chômage nous remet ces pages qu’il prétend avoi
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h. Précédé de la note suivante : « Fragment du
Journal
des deux mondes qui paraîtra à la Guilde du Livre. »
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corridor légèrement cloisonné, s’annonce dans les
journaux
: « cinq pièces, eau chaude et bains ». Il existe dans Manhattan des
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ssus de la cour. Le sol est jonché de plâtras, de
journaux
, de chiffons qui bougent, ou ce sont peut-être des chats. Des cordes
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. l. Précédé de la note suivante : « Extrait du
Journal
des deux mondes . »
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ier, brandissant le livre de Denis de Rougemont,
Journal
des deux mondes , se lance alors à corps perdu dans une accusation qu
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sement le titre de correspondant attitré de notre
journal
, il lit à la cour l’admirable morceau que de Rougemont a dédié à Pari
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nt devant un tribunal, a brandi ses preuves : mon
Journal
dans l’édition reliée de la Guilde. Tandis que M. Aragon, devant une
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sé le loisir d’y penser, ni même de bien lire les
journaux
. Mais voici ce matin sur mon bureau une de ces lettres-éclair de notr