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uit sans clair de lune, sans arbres et sans abois
lointains
. On y rôde en frôlant les murs, heurtant des corps, guettant des phar
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s ifs dramatiques, on domine un paysage de pluies
lointaines
et de prairies dorées. Soudain, un coup de vent violent a jeté contre
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il offre aux ciels changeants, et si profonds ses
lointains
de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines, sont le ca
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de au bas du ciel — vers l’ouest — que par cet or
lointain
que l’eau n’a point doublé, déjà prise de nuit, rêvant jusqu’à mes pi