1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
1 ement à un visage, au corps et aux vêtements, aux mains , à l’attitude distraite et vraie d’un être isolé près de moi. Je pren
2 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
2 squines. Donc, cette dame de Romorantin a pris en main ma cause méprisée et, s’adressant courageusement à mon auteur, elle l
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
3 Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’homme, sauf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiqu
4 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
4 ’approchent, on voit qu’elle tient la bride d’une main et de l’autre porte à sa bouche une pomme qu’elle mord en galopant. N
5 ne. Elle rit, jette la pomme, et nous salue de la main . Le jeune homme mince, immobile sur son cheval, nous considère avec h
6 ste de chasse qui tient des verres de whisky à la main . Deux femmes blondes entrent et vont s’asseoir un peu à l’écart de no
5 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
7 le peuple l’a baptisé, saisissant la baguette des mains du chef dirigera pour la dernière fois l’orchestre ou la fanfare d’un
6 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
8 droit de juger toute cette affaire, mon livre en main , selon votre conscience de citoyens de la plus vieille démocratie du
7 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
9 entit, pose un pied sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du