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emps qui a pris le rythme des vies simples. Et la
nuit
retrouvée, la vraie nuit noire et muette où rôdent les grandes menace
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des vies simples. Et la nuit retrouvée, la vraie
nuit
noire et muette où rôdent les grandes menaces originelles ! On l’avai
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ment à toute culture véritable. ⁂ Île de R. — La
nuit
! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des villes n’est pas cette mort
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de R. — La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris. La
nuit
des villes n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne sa
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e sais quelle invisible et brusque vie tout près.
Nuit
des villes, rouge et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la f
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rectangles détachés violemment au bas de l’énorme
nuit
. On ne voit que ces figures géométriques, dominées par le clocher à t
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geur sur la terre… » — Jamais plus que dans cette
nuit
. ⁂ Fin de séjour à A… (Gard). — Tout est en place. Je garderai toute
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mont cite Spinoza — mais il est inquiet : dans la
nuit
du 21 mai, n’y tenant plus, il retourne au poulailler, dérange la pou
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lignés au cordeau. Partirons-nous au milieu de la
nuit
? Ou passerons-nous l’hiver ici ? Plus rien ne dépend de nous. C’est
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n n’est plus poétique qu’un rassemblement dans la
nuit
, grouillant de casques, de reflets sourds et de gamelles entrechoquée
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erte. ⁂ Imaginez un Paris englouti dans l’épaisse
nuit
des campagnes, mais une nuit sans clair de lune, sans arbres et sans
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louti dans l’épaisse nuit des campagnes, mais une
nuit
sans clair de lune, sans arbres et sans abois lointains. On y rôde en
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a lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande
nuit
s’ouvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je
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es prairies. Par la charmille, où il fait presque
nuit
— mais on devine encore quelques statues décapitées ou renversées dan
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en n’empêche le Waldorf-Astoria d’annoncer que sa
nuit
de l’An « promet d’être la plus grande nuit de l’histoire de l’hôtel
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ue sa nuit de l’An « promet d’être la plus grande
nuit
de l’histoire de l’hôtel — à partir de $ 20 la place ». Nous fûmes hi
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nfants qui ne jouent plus à la balle parce que la
nuit
vient de descendre — depuis cinq ans que je circule dans cette ville,
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s de jardins en terrasses pleins de lucioles à la
nuit
, quand les violoneux du village viennent donner la sérénade. Et nous
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it de s’éveiller, luisant et neuf, de la première
nuit
… Et ces deux grands étés américains, dans les demeures trop vastes du
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ointain que l’eau n’a point doublé, déjà prise de
nuit
, rêvant jusqu’à mes pieds. Par une chaude soirée du mois d’août 192…,