1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 emps qui a pris le rythme des vies simples. Et la nuit retrouvée, la vraie nuit noire et muette où rôdent les grandes menace
2 des vies simples. Et la nuit retrouvée, la vraie nuit noire et muette où rôdent les grandes menaces originelles ! On l’avai
2 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
3 ment à toute culture véritable. ⁂ Île de R. — La nuit  ! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des villes n’est pas cette mort
4 de R. — La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des villes n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne sa
5 e sais quelle invisible et brusque vie tout près. Nuit des villes, rouge et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la f
6 rectangles détachés violemment au bas de l’énorme nuit . On ne voit que ces figures géométriques, dominées par le clocher à t
7 geur sur la terre… » — Jamais plus que dans cette nuit . ⁂ Fin de séjour à A… (Gard). — Tout est en place. Je garderai toute
3 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
8 mont cite Spinoza — mais il est inquiet : dans la nuit du 21 mai, n’y tenant plus, il retourne au poulailler, dérange la pou
4 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
9 lignés au cordeau. Partirons-nous au milieu de la nuit  ? Ou passerons-nous l’hiver ici ? Plus rien ne dépend de nous. C’est
10 n n’est plus poétique qu’un rassemblement dans la nuit , grouillant de casques, de reflets sourds et de gamelles entrechoquée
5 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
11 erte. ⁂ Imaginez un Paris englouti dans l’épaisse nuit des campagnes, mais une nuit sans clair de lune, sans arbres et sans
12 louti dans l’épaisse nuit des campagnes, mais une nuit sans clair de lune, sans arbres et sans abois lointains. On y rôde en
6 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
13 a lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je
7 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
14 es prairies. Par la charmille, où il fait presque nuit — mais on devine encore quelques statues décapitées ou renversées dan
8 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
15 en n’empêche le Waldorf-Astoria d’annoncer que sa nuit de l’An « promet d’être la plus grande nuit de l’histoire de l’hôtel
16 ue sa nuit de l’An « promet d’être la plus grande nuit de l’histoire de l’hôtel — à partir de $ 20 la place ». Nous fûmes hi
9 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
17 nfants qui ne jouent plus à la balle parce que la nuit vient de descendre — depuis cinq ans que je circule dans cette ville,
10 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
18 s de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit , quand les violoneux du village viennent donner la sérénade. Et nous
19 it de s’éveiller, luisant et neuf, de la première nuit … Et ces deux grands étés américains, dans les demeures trop vastes du
20 ointain que l’eau n’a point doublé, déjà prise de nuit , rêvant jusqu’à mes pieds. Par une chaude soirée du mois d’août 192…,