1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
1 , à tâtons, le verrou de la porte du fond, dans l’ odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un dé
2 e isolé près de moi. Je prends le métro, malgré l’ odeur de buanderie et ce relent de fauves de certains parfums de femmes, ri
2 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
3 montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous.
4 sortie à cheval. Promenons-nous en l’attendant. L’ odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contr
3 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
5 t née. Et depuis lors elle est restée lacustre. «  Odeur de l’eau pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube , et ving
6 ant la semaine prochaine, l’épreuve recommencera. Odeur de l’eau qui dort, pénétrante, amicale. Un poisson saute et ride un m