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, à tâtons, le verrou de la porte du fond, dans l’
odeur
des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un dé
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e isolé près de moi. Je prends le métro, malgré l’
odeur
de buanderie et ce relent de fauves de certains parfums de femmes, ri
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montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une
odeur
écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous.
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sortie à cheval. Promenons-nous en l’attendant. L’
odeur
des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contr
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t née. Et depuis lors elle est restée lacustre. «
Odeur
de l’eau pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube , et ving
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ant la semaine prochaine, l’épreuve recommencera.
Odeur
de l’eau qui dort, pénétrante, amicale. Un poisson saute et ride un m