1 Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)i Grands plateaux onduleux et livrés au

2 du chenil se sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’ orage ou l’approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arr

3 e clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent folle, j’ai tellement peur, et vous ? Vous êtes muets ? Vo

4 roman. i. Rougemont Denis de, « Souvenir d’un orage en Virginie », Bulletin de la Guilde du livre, Lausanne, novembre 194

5 rdre, la méditation des ciels bas, la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où les cris des oiseaux dans

6 Monte Baldo coiffé de neige, sur l’autre rive, un orage s’illumine par moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’eau r

7 de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’ orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, s