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fiance en l’homme. Il y a la liberté qu’assure la
pauvreté
. Ce goût qu’elle donne à l’attente du lendemain et des signes provide
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x, créer… D’où résulterait qu’un certain degré de
pauvreté
ou de misère physique condamnerait même un « intellectuel » au chômag
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âtent. L’auteur, conclut M. Porché, « a joué à la
pauvreté
; quel sacrilège ! » Or, sacrilège veut dire : qui lèse le sacré. On
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èse le sacré. On en déduit que M. Porché tient la
pauvreté
pour sacrée. Là, j’avoue que je ne puis le suivre. Ce serait donner d
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oin : il s’est contenté de se débrouiller avec sa
pauvreté
et, loin de la croire sacrée, il a essayé d’en sortir. Je signale le