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ne au voyageur davantage qu’une vision intense du
paysage
urbain de la Hollande. Tout ce que je sais de ce pays, après deux sem
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perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un
paysage
immense de minéral et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs tou
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nous changions un jour de goûts et d’ambition, ce
paysage
se transformerait. Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de
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nes blanches et ces ifs dramatiques, on domine un
paysage
de pluies lointaines et de prairies dorées. Soudain, un coup de vent
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ne ou éteint, voilà qui satisfait comme nul autre
paysage
ce goût profond de composer, de contraster, de voiler puis de découvr
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ande morte, un peu de temps diaphane à l’horizon.
Paysage
emphatique et sombre, tout cerné de prodiges sévères, et l’œil ne s’e