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ordinaire des hommes ». Cas plus rare qu’on ne le
pense
pour un intellectuel. À Paris, on fréquente et on ignore qui l’on veu
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s avec les gens, ou des soucis de mon état. Je ne
pensais
pas en faire un livre. Et pourtant ce n’était pas du tout ce qu’on no
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. Il m’a paru aussi que les façons de vivre et de
penser
des hommes réels, peuplant la France réelle, étaient en somme peu con
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is on se juge tout de même là-dessus… Je sors, je
pense
à autre chose, à quelque chose qui n’est pas d’ici. Et déjà je ne com
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intellectuel ne peut chômer totalement, puisqu’il
pense
, et donc travaille toujours. Mais c’était faire la part trop belle à
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es initiés, et cette mention si belle, quand on y
pense
, dans son élémentaire grandeur : En campagne. Entendez : quelque part
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qu’un embêtement dont on se préserve comme sans y
penser
. On ouvre un parapluie, on enfile un « imper », on s’isole avec soin,
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chambre paysanne, mais j’y suis pour peu que j’y
pense
, et c’est souvent. Faites le compte de vos heures et vous découvrirez
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en bottes, qu’elle emmenait partout avec elle. Je
pense
au regard d’acier du jeune homme silencieux de tout à l’heure. Des ch
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la voiture qui nous emporte sous la pluie, qu’en
pensez
-vous ? — J’ai pensé que, pour la première fois de ma vie, je me sens
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emporte sous la pluie, qu’en pensez-vous ? — J’ai
pensé
que, pour la première fois de ma vie, je me sens tenté d’écrire la su
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nces de ma vie ne m’ont plus laissé le loisir d’y
penser
, ni même de bien lire les journaux. Mais voici ce matin sur mon burea
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es plus seuls a gardé le charme des eaux. Faut-il
penser
que la souffrance au bord d’un lac n’est jamais sans quelque douceur