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désertes, et ces olivettes moirant les dernières
pentes
des Cévennes. Il y a aussi de ces rencontres qui soudain vous rendrai
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ci, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en
pente
douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline, nous voyo
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ants, et si profonds ses lointains de lumière. La
pente
derrière moi, l’horizon des collines, sont le cadre qui donne au tabl
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sse des collines et brusque sauvagerie des hautes
pentes
, échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du noir Monte Baldo co