1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 es, les jeunes ménages se ruinent à payer leurs «  petits deux-pièces », agrémentés de la TSF des voisins.) Chômeur, je me trou
2 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
2 es », « Paris-Soir », « on se défend… » La grosse petite bonne qui tire sa robe à fleurs sur le quai désert du métro, enfin un
3 les a bien connus, dans leur réalité sordide. Un petit fait vrai vaut plus que dix grandes idées discutables. Mais n’oublion
4 ateur. En vérité, il n’y a pas de faits grands ou petits en soi et par comparaison. Il y a dans chaque vie d’homme à peu près
3 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
5 Eh bien ! en ont-ils fait des histoires sur ma petite histoire ! Je vivais ignorée et sereine. C’est par la faute de mon au
6 ire, savez-vous qu’il s’en prenait en vérité à la petite épargne, aux petits rentiers ! C’est ce que personne n’avait su devin
7 l s’en prenait en vérité à la petite épargne, aux petits rentiers ! C’est ce que personne n’avait su deviner, avant Mme Maléco
8 nt Mme Malécot. « Mais vous ne les aurez pas, ces petits rentiers ! » clame-t-elle. Et pour le coup, je m’y reconnais : cette
9 de Rougemont. 3. Me permettra-t-on d’ajouter ma petite remarque aux déclarations judicieuses de ma poule noire ? Ce ne sont
4 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
10 l’architecture d’Amsterdam, de Rotterdam, ou des petites cités du centre. Je vois côte à côte un palais de la Renaissance flam
11 des caporaux autodidactes et simplificateurs. Les petits peuples protestants de l’Europe ont réalisé ce miracle de l’équilibre
5 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
12 vois du haut de mon douzième étage, en enfilade, petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométri
13 it noir couverts de mouettes et signalés par deux petits phares dont clignotent irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de
14 ns les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments les plus aigus de la vie, au
6 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
15 n aboyant. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les prises ! explique-
7 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
16 me les gouvernements, demandent pour leur Noël de petites bombes atomiques. Trois d’entre eux, à Brooklyn, viennent d’être bles
17 s un foulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’est moi ! », dit-elle en lui pin
18 la dinde. Politicien rusé autant qu’honnête, gros petit homme à la face de clown, Fiorello, la Fleurette ou le Chapeau, comme
19 à l’on met en vente la « bicyclette du ciel », un petit avion de 1000 dollars. Déjà les banques de Buffalo ouvrent des guiche
20 pacte et lente, dans la rumeur assourdissante des petites trompettes de foire et des crécelles, GI Joe, le combattant moyen, se
8 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
21 e sur la rue. De l’autre côté de la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre pièce plus larg
9 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
22 s la plaine, où l’eau rejoint presque le ciel, le petit phare de la baie de Sirmione… Sur les lacs sinueux de la Prusse-Orien
23 beau temps cruel, qui faisait fête à des adieux… Petits déjeuners suisses sur un balcon d’hôtel à Vevey, à Montreux, patries