1 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
1 et qu’on peut seulement ressentir quand on a les pieds dans la boue, vers quatre heures du matin, après l’alarme. La plupart
2 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
2 provençales. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dan
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
3 sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos pieds des morceaux de cire mal mâchés. Une servante les poursuit armée d’un
4 s prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon ! » Des éclairs illuminent longuement les meu
4 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
5 ire couverte et fort étroite se dresse sur quatre pieds de fonte : il faudrait monter sur une chaise pour y entrer. De la cui
5 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
6 élevées, dit-on, par un ministre fou.) Cyprès au pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pe
7 ? … Et nous n’irons jamais au lac d’Amatitlan, au pied du fabuleux volcan de Sant’Anna, mais je l’emporte avec les autres sa
8 nt doublé, déjà prise de nuit, rêvant jusqu’à mes pieds . Par une chaude soirée du mois d’août 192…, un jeune homme, simplemen
9 ortif plus que de puritain.) Il ralentit, pose un pied sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui lui arri