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les rosiers. Je trouve, à tâtons, le verrou de la
porte
du fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village,
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u deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la
porte
dont un battant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens so
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t qu’elle tient la bride d’une main et de l’autre
porte
à sa bouche une pomme qu’elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tou
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es vacillent, baissent, remontent… Paraît dans la
porte
du fond un homme en veste de chasse qui tient des verres de whisky à
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es escaliers de quatre marches qui conduisent aux
portes
d’entrée. Portes étroites, ouvrant sur des couloirs hauts et profonds
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uatre marches qui conduisent aux portes d’entrée.
Portes
étroites, ouvrant sur des couloirs hauts et profonds où deux personne
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aque. Je gravis l’escalier jusqu’au troisième. La
porte
donne dans la cuisine. En face du fourneau à charbon, qui est censé c
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entrer. De la cuisine, on passe par une baie sans
porte
dans le front room, qui donne sur la rue. De l’autre côté de la cuisi
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a cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni
portes
, suivies d’une autre pièce plus large sur la cour. Ce logis, qui n’es
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qui passent, mais je la vois venir de loin. Elle
porte
un grand chapeau flottant d’un rose sombre. Tout la distingue infinim
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vrai. Comme tout est facile et violent quand les
portes
du cœur ont cédé ! Le lac était d’un bleu très sombre, le ciel bas, d