1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
1 les rosiers. Je trouve, à tâtons, le verrou de la porte du fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village,
2 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
2 u deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous. Trois grands longs chiens so
3 t qu’elle tient la bride d’une main et de l’autre porte à sa bouche une pomme qu’elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tou
4 es vacillent, baissent, remontent… Paraît dans la porte du fond un homme en veste de chasse qui tient des verres de whisky à
3 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
5 es escaliers de quatre marches qui conduisent aux portes d’entrée. Portes étroites, ouvrant sur des couloirs hauts et profonds
6 uatre marches qui conduisent aux portes d’entrée. Portes étroites, ouvrant sur des couloirs hauts et profonds où deux personne
7 aque. Je gravis l’escalier jusqu’au troisième. La porte donne dans la cuisine. En face du fourneau à charbon, qui est censé c
8 entrer. De la cuisine, on passe par une baie sans porte dans le front room, qui donne sur la rue. De l’autre côté de la cuisi
9 a cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes , suivies d’une autre pièce plus large sur la cour. Ce logis, qui n’es
4 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
10 qui passent, mais je la vois venir de loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un rose sombre. Tout la distingue infinim
11 vrai. Comme tout est facile et violent quand les portes du cœur ont cédé ! Le lac était d’un bleu très sombre, le ciel bas, d