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e s’agit ici que de la vie « commune », au double
sens
de ce mot ; il s’agit du réel que tout le monde vit. Je crois que c’e
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un article intitulé sur trois colonnes — et j’en
sens
ma crête en rougir — « La poule de M. de Rougemont ». Voici le début
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ne par une nouvelle impertinence à mon égard : le
critique
prétend que ce livre peut introduire le lecteur « dans un monde où l’
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n vérité qu’à l’ignorance presque touchante de ce
critique
aussi présomptueux que bordelais. Que dire des autres ! Figurez-vous
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lois a obtenu le concours régulier du plus fameux
critique
de Romorantin (Loir-et-Cher). Non pas que la Suisse romande manque de
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et-Cher). Non pas que la Suisse romande manque de
critiques
très qualifiés, mais quand on a l’aubaine de publier des pages signée
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st tapé ! Je n’aurais pas dit mieux. Mais la dame
critique
de Romorantin (Loir-et-Cher) ne se contente pas de fustiger les appar
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un renseignement qui a bien son prix. Beaucoup de
critiques
ont accusé mon auteur d’avoir usurpé le « titre » de chômeur (comme l
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siles grossiers ; des mouvements brusques en tout
sens
, tissant une sombre confusion qui se révèle ordonnée à l’heure H ; et
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pensé que, pour la première fois de ma vie, je me
sens
tenté d’écrire la suite du roman. i. Rougemont Denis de, « Souveni
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e cœur et l’âme ont leur théâtre pur, où tout est
sens
, écho, dialogue à l’infini. Ici la joie trouve un espace où se déploy