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mon journal, je reçois une note à l’encre rouge,
signée
du correcteur de l’imprimerie. Je la recopie : « “Épicerie et spécial
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r ce maudit Journal . Il est vrai qu’ils étaient
signés
de noms que je crois fort obscurs, comme Mauriac, Ramuz, Halévy, Duha
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s, mais quand on a l’aubaine de publier des pages
signées
V. Meylan-Malécot, il convient de faire passer au second plan les con