1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
1 que les jours. Ici, tout repose complètement. Un silence implacable et mat enserre l’homme qui chemine sur la route incertaine
2 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
2 e, modèle de grand luxe, elle s’orne d’arbres, de silence et de grands portiers galonnés. Une buée bleue, pendant l’été, emplit
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
3 d’un bleu très pâle et dur. Il n’a pas salué. Son silence nous supprime. C’est sans doute le nouvel intendant. « Je vous retrou
4 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
4 i le nationalisme, c’est pour mieux « passer sous silence l’hitlérisme ». Qui croire ? Ainsi donc, selon Me Duperrier, j’
5 gon, j’aurais passé le même temps à « passer sous silence  » le nazisme et l’antisémitisme, et cela pour publier mes livres sous
5 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
6 ort et la vitesse. Mais soudain la tempête a fait silence autour de lui, et seul reste distinct le bruit profond des vagues. Il