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s sur son bureau, sur son divan, et jusque sur le
sol
de la pièce où il travaille (toujours ce désordre !). À ma stupéfacti
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le, et l’on ne sait plus la reconnaître au ras du
sol
, au niveau des choses brutes et brutales. Pourtant, rien n’est plus p
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me penche à la fenêtre, au-dessus de la cour. Le
sol
est jonché de plâtras, de journaux, de chiffons qui bougent, ou ce so
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ue de puritain.) Il ralentit, pose un pied sur le
sol
, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui lui arrive est sole