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avenir vivra la vie ordinaire des hommes, gagnant
son
pain par un métier quelconque. » C’est le contraire qui m’est arrivé
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ignore qui l’on veut. On se fait très facilement
sa
vie et son milieu parmi des gens qui écrivent ou qui lisent des livre
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i l’on veut. On se fait très facilement sa vie et
son
milieu parmi des gens qui écrivent ou qui lisent des livres, ou qui s
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it contraint de vivre sans avoir pu les choisir à
son
goût. J’ai traité ces deux grandes questions de la culture et de la c
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trouvé que la province ne vaut guère mieux, dans
son
état présent. Partout les jeunes vous disent : « C’est mort ici ! » P
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es mortelles ! C’est qu’on ne sait plus y trouver
son
prochain, mais seulement des « voisins inévitables » (comme l’a si bi
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r, contemplation de la terre, ou d’une bestiole à
son
travail, sentiment de la journée vide, du temps qui a pris le rythme
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e second était si pauvre, au moment où il écrivit
ses
plus grandes œuvres, qu’il ne lui restait plus même une chemise entiè
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er les épaules et le plastron. Le peu d’argent de
sa
retraite de professeur servait à payer ses logeuses successives, et d
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gent de sa retraite de professeur servait à payer
ses
logeuses successives, et des remèdes contre ses effroyables maux de t
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r ses logeuses successives, et des remèdes contre
ses
effroyables maux de tête. De plus, il était à demi aveugle… ⁂ Confor
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lisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte
ses
flancs jusqu’à ce que je rencontre l’ouverture de la boîte aux lettre
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« Ce cochon-là » refuse, prétextant une hernie ;
sa
femme aussi, prétextant sa jambe « coupée ». (Bonne occasion pourtant
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rétextant une hernie ; sa femme aussi, prétextant
sa
jambe « coupée ». (Bonne occasion pourtant de la décrocher un peu pou
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té, elle se heurtera à ce sommier monumental dans
sa
pose scandaleuse, et ma réputation sera faite ! Fuyons, fuyons ! ⁂ (
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« on se défend… » La grosse petite bonne qui tire
sa
robe à fleurs sur le quai désert du métro, enfin un être vrai. ⁂ (Co
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la mise en pages.) 1. Kierkegaard avait déposé
sa
fortune, réalisée en argent liquide, chez son beau-frère. Il était ad
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posé sa fortune, réalisée en argent liquide, chez
son
beau-frère. Il était adversaire du prêt à intérêt, condamné par l’égl
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église primitive. Il donnait à qui voulait. Après
sa
mort, on s’aperçut qu’il ne restait que 250 fr. dans le coffre. 2. V
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aisons connaissance page 92. L’auteur habite avec
sa
femme une maison prêtée ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond
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e poule qui met trente-huit jours à une tâche que
ses
congénères accomplissent généralement en trois semaines est en effet
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e simplement que mon auteur a négligé de vérifier
ses
dates ! Enfin, mon innocence éclate à tous les yeux. Ce qu’on me repr
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corer parmi les dossiers de mon auteur, épars sur
son
bureau, sur son divan, et jusque sur le sol de la pièce où il travail
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dossiers de mon auteur, épars sur son bureau, sur
son
divan, et jusque sur le sol de la pièce où il travaille (toujours ce
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otre expérience. Témoin la fameuse poule noire et
ses
treize poussins. Certains en sourient, de votre poule noire ; moi, je
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mots » à tel point que Mme Meylan peut écrire de
son
livre : « Il est difficile d’accumuler plus d’âneries en moins de phr
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a cru devoir hausser les épaules. Dans le fond de
son
cœur, toutefois, il a dû se sentir atteint. Et comment ne pas admirer
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er le courage de cette Française4 qui, du fond de
son
Romorantin, se dresse, seule, contre toute l’opinion — quitte à passe
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n — quitte à passer pour Dieu sait quoi — et rive
son
clou à l’insolent Helvète ! J’ai eu un autre vengeur en la personne d
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i loin : il s’est contenté de se débrouiller avec
sa
pauvreté et, loin de la croire sacrée, il a essayé d’en sortir. Je si
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ir, je vous confierai un renseignement qui a bien
son
prix. Beaucoup de critiques ont accusé mon auteur d’avoir usurpé le «
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annoise, mais enfin le journal Curieux a présenté
sa
lettre comme celle d’une Française offensée, et moi je crois tout ce
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par la vieille poule noire mise en scène p. 92 de
son
livre. Nos lecteurs jugeront eux-mêmes s’il faut voir là une preuve n
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uadrillé, tandis qu’Albert Mermoud, en travers de
son
lit, les hottes pendantes, dépouille le courrier de la Guilde… Je ne
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et cette mention si belle, quand on y pense, dans
son
élémentaire grandeur : En campagne. Entendez : quelque part dans le p
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C’est notre liberté. Pendant que Mermoud compose
son
Bulletin de guerre, j’ai bien envie de vous dire un peu de quoi se fa
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e nom, qui n’a rien de spectaculaire, qui n’a pas
sa
photo dans les feuilles et qu’on peut seulement ressentir quand on a
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ose d’immense et de sérieux. On y pénètre de tout
son
corps, de tout son sentiment charnel, on l’accepte avec toute la natu
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sérieux. On y pénètre de tout son corps, de tout
son
sentiment charnel, on l’accepte avec toute la nature, sans préjugés n
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se pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par
son
sac, l’homme observe l’avant-terrain par-dessous la visière d’acier r
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casque. L’homme tire la toile de tente qui couvre
ses
épaules et cherche à la caler sous son coude droit. Il sait que, d’un
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qui couvre ses épaules et cherche à la caler sous
son
coude droit. Il sait que, d’une seconde à l’autre, peut venir l’ordre
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découvrirez que tout homme rêve une bonne part de
sa
vie. Mais il arrive aussi que certains rêves, et certains cauchemars,
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t de la Suisse, telle qu’on la voit de loin, dans
sa
vérité séculaire. La déprimante architecture de notre Palais fédéral
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pes. Une blonde platinée, en peignoir rose, ouvre
son
frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fait trop cha
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chambre, un vieux monsieur, pour arroser au tuyau
ses
arbustes. Soudain, passant la tranche ocrée d’un bâtiment de trente é
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à mi-hauteur, sur la rivière, une proue grise et
ses
canons glissait sans bruit, un énorme croiseur défilait, tout l’équip
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es. « Et vous verrez ce qu’elle en a fait ! C’est
sa
manière de se venger de J. car c’était la maison de ses ancêtres, à l
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nière de se venger de J. car c’était la maison de
ses
ancêtres, à lui. Elle la déteste. Elle n’aime vraiment que ses chevau
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à lui. Elle la déteste. Elle n’aime vraiment que
ses
chevaux… » L’auto s’arrête devant un haut portique. Deux colonnes bla
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e tient la bride d’une main et de l’autre porte à
sa
bouche une pomme qu’elle mord en galopant. Nouveaux éclairs. Tous les
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’arrêtent devant la barre du portail. Elle pousse
son
cheval, le portail cède et lui livre passage. C’est une grande femme
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bottée, sauvage et belle, qui mord une pomme, et
son
torse paraît nu dans un fin sweater jaune. Elle rit, jette la pomme,
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ue de la main. Le jeune homme mince, immobile sur
son
cheval, nous considère avec hostilité. Il a les yeux d’un bleu très p
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eux d’un bleu très pâle et dur. Il n’a pas salué.
Son
silence nous supprime. C’est sans doute le nouvel intendant. « Je vou
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etrouve à la maison ! », crie-t-elle. Et, piquant
son
cheval, penchée sur l’encolure, elle disparaît dans le tunnel de la c
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eute de chiens de toutes les tailles s’élance sur
ses
traces en aboyant. Au fond d’une pièce vaste et noire une petite lamp
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rien n’empêche le Waldorf-Astoria d’annoncer que
sa
nuit de l’An « promet d’être la plus grande nuit de l’histoire de l’h
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es enfants ? » La vendeuse ouvrit la bouche, puis
ses
yeux s’écarquillèrent largement : devant nous venait d’apparaître une
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ense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes
ses
racines d’un parc où il sera replanté dès janvier, n’ayant coûté que
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elle les respecte un peu trop… Times Square, tous
ses
feux rallumés, semblera célébrer un V Day, une nouvelle victoire sur
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ù l’on peut déposer de l’argent sans descendre de
sa
voiture. Déjà les biches et les daims sont amenés dans les forêts de
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pique — permettant l’examen à l’œil nu. Décrivons
sa
partie inférieure. La rue huileuse, parsemée de vieilles lettres, de
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irie prononcée par Me Duperrier lors du procès de
son
client Georges Oltramare. Ainsi dans la Gazette de Lausanne : Un r
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nis, l’avocat se croit dès lors fondé à assimiler
sa
situation à celle de son client. « Si ces deux hommes ont pris ensuit
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ès lors fondé à assimiler sa situation à celle de
son
client. « Si ces deux hommes ont pris ensuite des chemins opposés, le
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guement les passages où Denis de Rongement relate
son
activité d’homme de lettres à la radio américaine. J’ai l’honneur, M.
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cat fait ensuite un parallèle entre l’attitude de
son
client et celle de l’écrivain Denis de Rougemont qui, constate le déf
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ier, en me dénonçant devant un tribunal, a brandi
ses
preuves : mon Journal dans l’édition reliée de la Guilde. Tandis que
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, c’est lui et non pas moi ; et si quelqu’un a vu
ses
livres censurés en Suisse, c’est moi et non pas lui. Avec Tite-Live e
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isse, c’est moi et non pas lui. Avec Tite-Live et
son
commentateur, je suis pour les accusations mais contre les calomnies,
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accusait Georges Oltramare, quelques jours avant
son
procès, je me suis dit, songeant à ma propre action pendant la guerre
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sion d’un papier ». Si je comprends bien, il veut
sa
paix, et me laisse le soin de répondre aux téléphones. OK ! disent le
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admet avec cet avocat que j’ai vraiment agi comme
son
client, l’alternative est la suivante : ou bien je suis coupable, mai
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rbe d’avoir consolé Duperrier — celui qui a perdu
son
procès. La seule question sérieuse qui se posait, notre avocat s’est
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illé Oltramare, on s’est borné à le punir un peu.
Son
avocat garde le droit de me dénoncer pour avoir combattu l’hitlérisme
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qu’il offre aux ciels changeants, et si profonds
ses
lointains de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines,
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des collines, sont le cadre qui donne au tableau
sa
signification privilégiée. Ici le cœur et l’âme ont leur théâtre pur,
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c du Saint Sacrement « pour la pureté lustrale de
ses
eaux »… Il me rappelait un peu de tous mes autres lacs, mais il était
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la distingue infiniment du troupeau bavardant de
ses
compagnes. Si je rencontrais ses yeux, que deviendrais-je, et si elle
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eau bavardant de ses compagnes. Si je rencontrais
ses
yeux, que deviendrais-je, et si elle devinait mon sentiment ? Pourtan
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s au large, et le cœur du jeune homme bondit dans
sa
poitrine, exalté par l’effort et la vitesse. Mais soudain la tempête
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? se dit-il. Il faut en avoir le cœur net. (Tout
son
orgueil réside en la maîtrise de soi, idéal de sportif plus que de pu