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ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du
village
, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c
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ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du
village
. De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
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l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le
village
apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques