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’ailleurs leurs théories nous ramèneraient vite l’
âge
de la pierre, à la condition d’homme la plus nue ; la plus éloignée d
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onne, pas même eux ». Dans ce roman, comme dans l’
Âge
d’or, un désenchantement profond prend le masque d’une aimable mélanc
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puissance. C’est par l’argent qu’on domine notre
âge
: il devient grand industriel, assure sa fortune au prix du peu cyniq